« La Science Illustré »: Une Revue Pleine De Ressources!
« La science illustré » une mine pour les amateurs !
La « science illustré » qui demeure une des revues phare de tout amateur du genre qui se respecte, nous est précieuse à plus d'un titre. D'une part parce qu'elle nous offrit une quantité non négligeable d'œuvres inédites ou en pré originales, mais également dans la majorité des cas, chaque livraison sera accompagnée d'une illustration, élément primordial, en regard des magnifiques illustrations réalisées entre autre pour le roman de De Choisy « Ignis ».
La science illustrée est un hebdomadaire de vulgarisation scientifique, créé en Octobre 1875, qui connu de nombreux rédacteurs comme Adolphe Bitard, Louis Figuier et Elysée Reclus. Il semblerait donc d'après mes sources que la date indiquée dans le « Versins » soit erronée, puisque ce dernier indiquait sa création en Décembre 1887.Peut-être voulait uniquement spécifier la date à laquelle Louis Figuier Dirigea la revue, période marquée effectivement par l'introduction de romans et nouvelles à chaque parution.
Si la présentation se modifie au fil des années, essentiellement au niveau de la couverture, le contenu lui restera identique avec des articles réalisés par historiens, hommes de sciences et écrivains, dont le but sera de faire comprendre et partager les dernières nouveautés en matière de technologie mais également dans des domaines aussi variés que l'histoire, la biologie, la mécanique, l'architecture, etc....Toutefois comme je le disais précédemment et probablement grâce à l'impulsion du nouveau responsable Louis Figuier,une grande nouveauté va apparaître dés 1888 et c'est peut-être la que réside « l'erreur » de Versins, puisque pour la première fois un roman « d'aventure scientifique » va être publié, sous la plume de l'écrivain Louis Boussenard « Les secrets de Mr Synthés ». Un texte de Jules Verne y sera publié peu avant, mais le contenu peu « conjectural » du « Un drame dans les airs » ne nous permet pas de le classer dans les textes « fondateurs » de cette revue.
Cette-ci va donc, au fil de sa carrière, mélanger avec plus ou moins de bonheur des histoires « d'anticipation » (« Les voyages d'un habitant de Vénus », « 10 000 ans dans un bloc de glace », « Le XXéme siècle » ) histoires d'aventures scientifique (« Voyages sous les flots », « Le spirite malgré lui », « Les insectes révélateurs »), des textes oscillant entre les deux genres, pour exemple les trois récits résumé plus haut et des textes d'aventures classiques peu ou prou teintés d'éléments scientifiques.Un bilan qui, sur une période relativement courte, privilégia un domaine qui s'exprima sous la plume d'écrivains dont le talent n'est plus à contester: Robida,Wells,Brown,Bleunard,Verne,Debans,Flammation ! Une liste qui vous donnerait presque le vertige.
Présentons à prsésent trois exemples de ce que cette revue pouvait proposer au lecteur
Le premier, de facture classique est très décevant, quoique très conforme à l'esprit de l'époque. Dans le second, si nous plongeons dans une simple histoire de savant fou, celle-ci bascule par contre totalement dans l'horreur lors du dernier chapitre. L'auteur faisant preuve dans cette « fin du monde » d'une bonne dose d'humour noir. Cette thématique de l'arme « bactériologique » est assez innovante pour l'époque même si le génial Robida s'y était déjà essayé en 1879 dans son « Les voyages très extraordinaires de Saturnin Farandoul »( les boites à variole) puis en 1887 avec « La guerre au XXéme siècle » avec son « corps médical offensif » composé d' ingénieurs chimistes, médecins et apothicaire, fabriquant entre autre des « mines miasmatiques ». Toute son œuvre fera état de cette redoutable arme, puisque nous la retrouverons en 1919 dans « L'ingénieur Von Satanas ». Arnould Galopin en fera également usage dans son « Bacille » en 1928, sans oublier « L'offensive des microbes, roman d'une guerre future » par le Professeur Motus, mais également « Le dernier Blanc » de Yves Gandon en 1945....Un thématique également très riche et qui mériterait toute l'attention d'une analyse et d'un recensement plus détaillé.
Pour terminer les nouvelles qui nous intéressent, finissons par « Le laboratoire bleu » et faisant allusion à ces nombreuses tentatives réalisées par écrivains et scientifiques pour exploiter les ressources « photographiques » de l'œil. Cette fameuse impression sur la rétine du mort, révélant l'identité de son assassin. Ici en l'occurrence, l'idée sera encore plus puissante puisque le savant utilisera la rétine comme un objectif, pouvant selon un procédé bien spécial, projeter les images de la pensée. Paulon fait preuve ainsi d'une plus grande imagination en considérant l'ensemble œil/cerveau comme un véritable appareil cinématographique. Prémices d'une forme subtile de torture dont le principe nous rappelle étrangement Kubrick dans son désormais célèbre « Orange mécanique » et sa séance de visionnage assez particulière. Charles Brabin quant à lui dans son tout aussi célèbre « Masque d'or » n'aurait jamais envisagé et ce malgré l'apport d'un Sax Rohmer, un raffinement aussi...subtil !
Dommage que l'auteur hélas un peu trop avare en description, ne nous donnera que peu d'éléments concernant les plaques photographiques imprimées de cet infortuné « Toxico malgré lui ».
« Un message de la planète mars » de C.Paulon. Du N°523 (décembre 1897) au N°526 (Décembre 1897).
Le professeur Cozen, astronome réputé, découvre un jour par une observation télescopique, d'étranges signaux lumineux provenant du milieu de la planète Mars. Il en fera part à un de ses amis qui se joindra à lui afin d'analyser ce curieux phénomène. Appuyé sur les théories de Percival Lowell, ils vont imaginer une éventuelle civilisation martienne dont l'évolution permettrait l'envoi d'un tel signal. Viendra le jour où ils devront révéler leur découverte vau monde scientifique. De mauvaises conditions météorologiques empêchent toutes nouvelles observations dans cette partie de l'hémisphère terrestre, mais peut-être que d'autres nations pourront-elles découvrir le pourquoi de ces mystérieux messages...Fin !
« La peste rouge » de Jean Bruyére. Du N°530 (22 Janvier 1898) au N° 532 (5 Février 1898).
Le héros de cette histoire rencontre lors de ses vacances à Gennes, le Pr Swartz, avec lequel il va immédiatement sympathiser. Tous deux sont des passionnés d'échec. Au cours d'une de leurs longues parties, le scientifique bactériologiste de son état, lui fait part d'une étrange théorie. Pour appuyer cette dernière, il prend comme référence une vague de terrorisme (entendez par là les actes d'anarchistes) faisant rage dans le pays. Le prétexte à cette « pétarades » est une insurrection face au capitalisme grandissant. Mais le problème avance Swartz c'est que pour lutter contre ce fléau, générateur de pauvreté dans le monde, ce n'est pas la disparition de quelques représentants qui suffira, mais l'élimination pure et simple de plusieurs centaines de ses représentants : Un génocide au nom de la lutte des classes ! Pour cela rien de plus simple, il suffit de fabriquer un redoutable virus, du sobriquet de « peste rouge » et pouvant tuer son homme en une ½ heure. Inutile de briser le flacon (comme nous le verrons dans un jour prochain dans le roman « les cinq sens » de ) mais seulement d'en enduire quelques lettres et de les envoyer aux puissants de ce monde ( cela doit vous rappeler quelque chose...) provoquant par réaction toute la contamination de son entourage.
Quelques jours plus tard, le sinistre personnage va succomber, victime de sa propre découverte avant d'avoir mis à exécution son horrible forfait. Fort heureusement, mis au fait de ses recherches, notre homme prendre toutes les précautions nécessaires afin de neutraliser le produit dévastateur. Swartz lui avait révélé dans un moment de grâce inattendu, la formule d'une substance pouvant neutraliser le fameux poison. Le corps du fou sera aspergé de l'antidote. Quelque mois plus tard, tout bascule de nouveau. Pour d'obscures raisons lucratives, le cimetière ou repose la « bombe » a retardement, doit être déplacé, nécessitant de ce fait l'ouverture des tombes.. Hélas, ce fameux antidote s'est avéré inactif sur un corps contenant trop « d'horreurs microscopiques ». Au total, l'effet inverse s'est produit, le corps faisant office de réservoir, les virus se sont développés. La suite nous la devinons et c'est ainsi que fut accomplie post mortem, le projet de cet homme n'ayant pas d'autres ambitions que le bien de l'humanité.
« Le laboratoire bleu » de Jean Paulon. Du N° 557 (30 Juillet 1898) au N°560 (20 Août 1898)
Le Pr Chance, homme très affable, engage pour l'éducation de ses deux jeunes filles, une institutrice du nom de Madeleine Rennick. Ne lui portant guère une attention particulière, celui-ci va cependant changer d'avis en découvrant ses talents de secrétaire. Mais elle possède également d'autres atouts, d'une grande intelligence elle se passionne en outre pour les sciences. Petit à petit, un climat de confiance s'instaure entre les deux personnes et tout se passerait pour le mieux si un terrible secret ne planait sur la demeure. Pourtant les deux filles, ne pouvant supporter plus longtemps un tel fardeau finissent par trahir le terrible mystère.
Dans le laboratoire, à l'intérieur d'une immense cloche de verre, un homme est prisonnier, implorant chaque jour sa délivrance. Au dire des jeunes filles, le professeur reste de marbre, ne faisant allusion qu'à un vague appareil capable de photographier la pensée. Un soir pourtant l'institutrice pénètre de force dans le laboratoire. Elle va y découvrir, sous la fameuse cloche, un homme hurlant, fou de terreur. Ce n'est autre que l'ex secrétaire de la maison, emprisonné là, à des fins horribles. Madeleine prévient en toute hâte la police qui procède à une perquisition.....Chance se suicide ! Fort heureusement avant de mourir, l'inventeur « crache » le morceau, heureusement pour le pauvre lecteur qui attend avec une impatience non dissimulée, la clef du mystère.
Grâce à un enduit spécial dont il recouvre une plaque photographique, il se rend compte qu'en fixant son regard sur un objet pendant un temps assez long, puis en regardant dans une chambre noire la même plaque, l'objet qu'il avait observé se retrouvait reproduit après développement. Il s'agirait probablement d'un pigment appelé « pourpre visuelle », se trouvant sur la rétine, qui en serait responsable. Les impressions intellectuelles subjectives produisent des changements moléculaires dans les cellules du cerveau, pourquoi ces changements ne pourraient-ils pas décomposer eux aussi la pourpre visuelle et donner une image distincte sur un négatif ? Ce sont dans les rêves que cette impression devient d'une saisissante netteté. IL va donc utiliser un cobaye, sin infortuné secrétaire qu'il enfermera sous cette cloche hermétique. Chaque nuit, il lui relevait les paupières avec des appareils spéciaux et à l'aide de drogues (cocaïne, opium), le faisait dormir, « les yeux ouverts » projetant ainsi pendant des heures et dans l'obscurité, les rayons sur la plaque sensible où il inscrivait toute l'horreur de ses cauchemars. La raison du pauvre cobaye n'a pas pu résister.
Petite esquisse des romans et nouvelles parus dans la « Science illustrée »
Ne disposant pas de tout le matériel me permettant une parfaite exhaustivité de cette démarche, je voudrais m'excuser auprès de mes lecteurs des lacunes et de certains manques dont va souffrir cette liste. Au fur et à mesure de mes découvertes et de vos érudites interventions, je suis certains qu'au fil du temps celle-ci pourra s'étoffer et ce compléter. Merci d'avance pour votre participation.
- « Le triomphe de la science » de J.Montet. Du N°4 (22 Décembre 1887) au N°5 (29 Décembre 1887)
- « Un drame dans les airs » de Jules Verne. Du N° 8 (21 Janvier 1888) eu N°12 (18 Janvier 1888)
- « Les secrets de Mr Synthes » de Louis Boussenard.Illustrations de Ch.ClericeDu N° 15 (10 Mars 1888) au N° 63(9 Février 1889)
- « Les expériences du Dr Luys » de Henri De Fonvielle. Du N° 20 (14 Avril 1888) au N°21(21 Avril 1888)
- « Maître Zacharius » de Jules Verne. (Illustrations de Schules). Du N° 64(16 Février 1889) au N° 69 (23 Mars 1889)
- « Voyage d'un habitant de vénus » De Aleriel.(Illustration de Paul Hardy). Du N° 70(30 Mars 1889) au N° 74(24 Avril 1889). Cette longue nouvelle ne comportera pas de fin.
- « Les insectes révélateurs » de Alphonse Brown.(Illustrations de Ch. Clerice) Du N° 75(4 Mai 1889) au N° 80 (8 Juin 1889)
- « Le spirite malgré lui » De A.Bleunard.(Illustrations de Ch.Clérice). Du N° 81(15 Juin 1889) au N° 89 (10Aout 1889)
- « 10 000 ans dans un bloc de glace » de Louis Boussenard. (Illustrations de Ch Clérice). Du N° 90(17 Août 1889) au N° 100(26 Octobre 1889)
- « Voyages sous les flots » de J.Rengade.Edité à l'origine en volume sous le titre « Les aventures extraordinaires de Trinitus » par Aristide Roger en 1867. (illustrations de Ch Clérice) Du N° 101(2 Novembre 1889) au N°130 (24 Mai 1890)
- « Un ville de verre » de Alphonse Brown.(Illustrations de Ch.Clérice) Du N° 131(1 Juin 1890) au N°193(8 Août 1891)
- « Les tribulations d'un pécheur à la ligne » de Alphonse Brown. Du N° 195(22Aout 1891) au N° 208(21 Novembre 1891)
- « La vie électrique » de Albert Robida.(Illustré par l'auteur) Du N° 209(28 Novembre 1891) au (N°244 (30 Juillet 1892)
- « La perle noire » de Victorien Sardou. Du N° 245(6 Août 1892) au N°256(22 Octobre1892)
- « Le microbe du Professeur Bakermann, récit des temps futurs » de Charles Epheyre( pseudo de Charles Richet) du N° 257(29 Octobre 1892) au N°260(19 Novembre 1892)
- « Histoire d'un tremblement de terre » de Camille Debans. Du N°261 (26Novembre 1892) au N°265 (24 Décembre 1892)
- « Le désiré, première traversée d'un bateau sous-marin ». De Emile Gautier . Du N°266 (31 Décembre 1892) au N° 270(18 Janvier 1893)
- « Le Mirausorus » de Charles Epheyre( pseudo de Charles Richet). Du N°271 (24 Février 1893) au N° 280 (8 Avril 1893)
- « L'île en feu » de Camille Debans. Du N° 281(15 Avril 1893) au N° 286(20Mai 1893)
- « Toujours plus petits » de A.Bleunard. Du N° 287(27 Mai 1893) au N° 313(25 Novembre 1893)
- « La fin du monde » de Camille Flammarion. Du N° 314(2 Décembre 1893) au N° 339 (26 Mai 1894)
- « La ville enchantée : Voyage au lac Tanganyika » de Prevost-Duclos. Du N° 340(2 juin 1894) au N° 365(24 Novembre 1894
- « Les 800 doublons de Springfield » de George Price. Du N° 366 (1 Décembre 1894) au N°375(2 Février 1895)
- « Le Dou » de Jules Lermina. Du N° 376(9 Février 1895) au N° 384(6 Avril 1895)
- « Un duel à vapeur » de Camille Debans. Du N° 385 (13 Avril 1895) au N°391 (25 Mai 1895)
- « Batailles navales de l'avenir » de Maurice Loir. Du N°392(1Juin 1895) au N° 413(26 Octobre 1895)
- « Le vainqueur de la mort : chronique des siècles à venir » de Camille Debans. Du N° 414(2 Novembre 1895) au N°418 (30Novembre 1895)
- « Ignis » de Didier De Chousy. Du N° 419 (8 Décembre 1895) au N° 470 (29 Novembre 1896)
- « Le XXéme siècle » de Albert Robida (Illustré par l'auteur). Du N° 471(6 Décembre 1896) au N° 522(28 Novembre 1897)
- « Un message de la planète Mars » (Illustrations de André Sleigh ?) Du N°523 (4 Décembre 1897) au N° 526(25 Décembre 1897)
- « L'île de L'Aepyornis » de H.G.Wells (Illustrations de Bouard). Du N° 527 (2 Janvier 1898) au N° 529(16 Janvier 1898)
- « La peste rouge » de Jean Paulon (Illustrations de André Sleigh ?). Du N° 530(22Janvier 1898) au N° 532(5 Février 1898)
- « Les mines d'or du Bas Meudon » de C.Paulon. Du N° 533(12 Février 1898) au N° 548( 28 Mai 1898)
- « La fleur mystérieuse » de J.Rengade. Du N° 549 (4 juin 1898) au N° 550 (11 Juin 1898)
- « L'attaque de la coupole cuirassée, épisode d'un siége...en 1950 » de Pierre Féréol. Du N° 551 (18 Juin 1898) au N° 553 (2 Juillet 1898)
- « Une mouche en cour d'assise » de J.Rengade. Du N° 554 (9 Juillet 1898) au N° 556 (23 Juillet 1898)
- « Le laboratoire bleu » de C.Paulon (Illustrations de John H.Bacon). Du N° 557 (30 Juillet 1898) au N° 560 (20Août 1898)
- « Fantaisie : échange de sang » de J.Rengade. Numéro 561 (27 Août 1898)
- « Une histoire extraordinaire » de V.Coupin. Du N° 562 (3 Septembre 1898) au N° 570(29 Octobre 1898)
- « Le phoque blanc » de R.Kipling. du N° 571 (5 Novembre1898) au N° 574 (26 Novembre 1898)
- « Justice Arabe » de Antonin Mulé. Du N°575(3 Décembre 1898) au N° 584(4 Février 1898)
- « La danse des éléphants » de R.Kipling. Du N° 585 (11 Février 1899) au N° 589 (11 Mars 1899)
- « L'or du Fantôme blanc » de L.Beauval. Du N°590 (18 Mars 1899) au N° 619 (7 Octobre 1899)
- « Les pirates de la mer » de H.G.Wells. Du N° 620(14 Octobre 1899) au N° 622(28 Octobre 1899)
- « Le fou d'après demain » de Camille Debans. Du N°623 (4 Novembre 1899) au N° 624(11Novembre 1899)
- « L'étoile » de H.G.Wells. Du N° 625(18 Novembre 1899) au N° 626(25 Novembre 1899)
- « Un erreur judiciaire en Australie » de V.Coupin. Du N° 627 (2 Décembre 1899) au N° 630(23 Décembre 1899)
- « L'eau de jouvence » de A.Bleuinard. Du N° 631 ( 30 Décembre 1899) au N° 643( 24 Mars 1900)
- « L'œuf de cristal » de H.G.Wells. Du N° 647 (21 Avril 1900) au N° 650(12 Mai 1900)
- « Le réveil de pharaon » de Henry A.Héring. Du N° 651 (19 Mai 1900) au N° 652(26 Mai 1900) .Il doit s'agir de la même nouvelle reprise dans la revue « Je sais tout » du 15 Avril 1917 et intitulée » Deux professeurs et une momie »
- « Le paralytique » de Camille Debans. Du N° 653( 2 Juin 1900) au N° 656 (23 Juin 1900)
- « L'homme qui pouvait accomplir des miracles » de H.G.Wells. Du N°666 (1 Septembre 1900) au N° 669 (22 Septembre 1900)
- « Un étrange phénomène» de H.G.Wells. Du N° 673 (20 Octobre 1900) au N° 675 (3 Novembre 1900)
- « Rikki-Tikki-Tavi » de R.Kipling. Du N° 676(10 Novembre 1900) au N° 678 (24 Novembre 1900)
- « La guerre des mondes » de H.G.Wells .Du N° 679 (1 Décembre 1900) au N° 719 (7 Septembre 1901)
- « Quiquern » de R.Kipling. Du N° 720 (14 Septembre 1901) au N° 726 (26 Octobre 1901)
- « L'angoisse » de Camille Debans. Du N° 727 (2 Novembre 1901) au N° 730(23 Novembre 1901)
- « Dans l'abîme » H.G.Wells. du N° 784 (6 Décembre 1902) au N°787 (27 Décembre 1903)
- « Dans la brousse Australienne » de P.Maistre. Du N° 788 (3 Janvier 1903) au N° 795 (21 Février 1903)
- « La pierre philosophale » de A.Bleunard. Du N° 796 (28 Février 1903) au N° 804 (25 Avril 1903)
- « Les triomphes d'un taxidermiste » de H.G.Wells. Numéro 805 (2 Mai 1903)
- « La pomme » de H.G.Wells. Du N° 806(9 Mai 1903) au N° 807 (16 Mai 1903)
- « L'homme volant » de H.G.Wells. Du N° 808 (23 Mai 1903) au N° 809 (30Mai 1903)
- « Maison tranquille » de Jules Lermina. Du N° 810 (6Juin 1903) au N° 818(1 Août 1903
- « Les argonautes de l'air » de H.G.Wells. Du N°819 (8 Août 1903) au N° 822 (29 Août 1903)
- « Les fous » de Jules Lermina. (Illustrations de CH.Clérice) Du N° 823(5 Septembre 1903) au N° 835 (28 Novembre 1903)
- « Le jardin de Mr Watson » de R.de Villement. (Illustrations de Haudin)( ?). Du N° 862 (4 Juin 1904) au N°887 (26 Novembre 1904).
- « Le Dr Van Roscius » de C.Montamat. Du N° 888 (3 Décembre 1904) au N° 894 (14 Janvier 1905)
- « Sur l'abîme, roman scientifique » de Louis Gastine. (Illustrations de Jules Adeline). Du N° 836 (5 Décembre 1903) au N° 861(28 Mai 1904)
- « La vielle maison »de J.LFaber. (Illustrations de S.Minier). Du N° 895 (21 Janvier 1905), au N° 913(27 Mai 1905).
Pour conclure je voudrais remercier Guy Costes, pour son aide précieuse et de m'avoir ouvert sa magnifique bibliothèque, ainsi que le site « Gloubik » dont l'imposant travail d'archivage me fut très utile à la rédaction de cet article.
Il vous sera enfin possible de retrouver deux des textes résumés en haut de page sur leur site à l'adresse suivante:
- « Un message de la planète Mars » :
http://www.gloubik.info/livres/un-message-de-la-planete-mars.html
- « Le laboratoire bleu »» :
http://www.gloubik.info/livres/le-laboratoire-bleu.html
Plus encore deux autres :
- « Le triomphe de la science »
http://www.gloubik.info/livres/triomphe-de-la-science.html
- « Le microbe du Professeur Bakermann » :
http://www.gloubik.info/livres/le-laboratoire-bleu.html
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