Si les insectes étaient cent fois, mille fois, un million de fois plus gros,étant proportionnellement beaucoup plus puissants que les gros animaux, on pourrait voir un petit coléoptère, l'Attise, faire bon marché d'une demi douzaine de bœufs aussi gros que lui,s'il lui prenait fantaisie de se précipiter sur eux .

Comme peut en témoigner un récent article sur le site, la peur des insectes ne cesse de hanter l'homme car outre son aspect parfois répugnant, il est doué d'une intelligence souvent surprenante et qui pourrait remettre en question notre suprématie sur terre. Pourtant, si la nature décida de laisser ces charmantes bestioles à un taille réduite, évitant pour l'instant toute menace d'invasion, il est assez effrayant de mesurer toute la puissance qu'elles pourraient développer si l'évolution en avait décidé autrement. Dans cet article , un chercheur s'est penché sur le problème en essayant de ramener certaines espèces à une échelle humaine et d'anticiper sur les terribles conséquences que cela pourrait entraîner sur notre quotidien .

Cet article fait écho à un dialogue savoureux entre, Jean-Marie de Lanessan et Paul Clemenceau, un des frères de Georges Clemenceau, Ingénieurs des arts et manufactures, extrait « Des Mémoires de la vie littéraire » de H.J.Rosny dont l'intégralité fut reproduit dans l'excellent blog de mon ami Fabrice Mundzik et que vous trouverez en lien en fin d'article. Un dialogue surréaliste , pour reprendre la formule de Fabrice,qui trouve ici son point d'orgue avec les terribles caractéristiques pouvant être les attributs de si frêles créatures si naguère elles avaient la fâcheuse envie de grossir. Mais plus que les mots, les magnifiques illustrations de René Lelong, que l'on n'a pas l'habitude d'admirer dans ce genre de thématique, et qui à elles seules sont suffisamment explicites. Une, en particulier, ne manquera pas j'imagine d'interpeller les « Savanturiers » que nous sommes, puisqu'elle ressemble étrangement à une scène d'une film célèbre tiré d'une nouvelle de Georges Langelaan « La mouche » ( « Nouvelles de l'anti-monde » Bibliothèque Marabout 1962) et dont le final du film de Kurt Neumann marquera notre imaginaire collectif avec cet « homme/mouche » emprisonné dans une toile d'araignée et attendant, des hurlements dans la bouche, un horrible destin dont la finalité ne fait aucun doute. Comme quoi dans les domaines de l'imaginaire il y a certaines coïncidences qui ne peuvent être imputées qu'à certains concours de circonstances pouvant inspirer de manière collective de nombreuses personnes possédant certaines affinités avec le coté extraordinaire de tout ce qui nous entoure.

« Les monstres minuscules » de Henri Coupin, illustré par René Lelong paru dans la revue « Je sais tout » du N°31 du 15 Aout 1907 , page 15 à 20.

Nul prodige accompli par l'homme n'est comparable à ceux des monstres minuscules, insectes, petits animaux, doués par la nature d'une force extraordinaire qui vient d'être établie de façon mathématique par un travail des plus intéressants. On verra que l'éléphant ou le boeuf ne sont que des pygmées à côté d'une puce ou d'un hanneton et que l'hirondelle bat, comme elle le veut, l'automobile la plus rapide.

 

Gavarni montre, dans un de ses dessins, deux débardeurs aux prises. Le premier, gigantesque, dit à l'autre, minuscule :


Viens-y donc, eh ! trop petit ! Et l'autre riposte, fièrement :
Viens-y donc toi-même, eh ! trop grand !


Les observations prises sur la nature confirment cette noble réponse de David à Goliath! Les animaux sont, en général, d'autant plus forts qu'ils sont plus petits. Tout le monde sait que la puce saute à une hauteur égale à plus de deux cents fois sa hauteur; un homme qui serait doué d'un ressort aussi puissant franchirait d'un bond la tour Eiffel, sans crainte de s'empaler sur le paratonnerre qui la termine. Mais cet exemple n'est pas le seul; les vignes, par exemple, sont en butte aux déprédations d'un petit insecte qui n'est guère plus gros que la puce et que l'on nomme l'altise. Cette altise exécute des bonds égaux à quatre cents fois sa hauteur et dépassant cinq cents fois sa longueur. Supposons que l'altise soit aussi grosse que l'homme;celui-ci,pour la poursuivre,devrait être muni de bottes susceptibles de lui faire exécuter des sauts de 125 mètres de longueur!


Un naturaliste belge, M. Félix Plateau, a fait de nombreuses expériences sur ce sujet. Pour mesurer les efforts de traction que peuvent exercer les insectes, il a construit un petit appareil très pratique : une sorte de harnais minuscule qu'on passe à l'insecte et qui traîne, par un fil passant sur une poulie, un plateau. L'animal, pourvu de ses harnais, se met en marche; on place sur le plateau des poids de plus en plus lourds, jusqu'à ce que la bestiole soit à son tour, entraînée. Le naturaliste a ainsi reconnu qu'un hanneton était vingt et une fois plus vigoureux qu'un cheval; l'abeille est trente fois plus vigoureuse. En effet, un cheval ne peut exercer un effort supérieur à cinq ou six fois son poids, alors qu'un hanneton traîne sans grand effort une charge équivalant à quatorze l'ois son poids et qu'une abeille attelée met aisément en Branle un chariot pesant vingt fois plus qu'elle-même. Ces chiffres ne s'appliquent qu'à des « sujets » très ordinaires; certains, pesant un sixième de grammes, supportent une. Charge de dix grammes, soit soixante-six fois leur poids; quarante mille de ces insectes donneraient la valeur d'un solide cheval de gros trait.


M. Plateau a aussi rencontré un autre coléoptère, un peti onthophage,pesant un demi-décigramme, qui va jusqu'à pousser près de cent fois son poids! Si nous avions autant de « nerf», nous devrions jongler avec des poids de six mille kilogrammes et l'éléphant devrait culbuter des montagnes.


Un autre auteur a montré qu'un perce- oreilles, attelé à un petit chariot, traîne sans difficulté huit allumettes, ce qui, pour un robuste percheron, équivaudrait à déplacer 330 poutres aussi longues et aussi grosses que lui-même. On put aussi constater facilement, en maintenant une mouche par les ailes, que celle-ci, avec ses pattes qu'on laisse libres, saisit et soulève une allumette. Cela revient à dire que si un homme voulait,toutes proportions gardées,fournir un pareil travail, il devrait soulever une poutre de 8m50de long et de 0m,40 de côté.

« L'homme pris comme un moucheron »
Les imaginations les plus fertiles ne seraient concevoir un monstre plus redoutable et plus hideux que cette araignée grossie au point de retenir dans ses filets, effroyable matériel de guerre, un homme de forte taille, aussi facilement qu'une araignée ordinaire retient un moucheron qu'elle dévore

Ce n'est d'ailleurs pas seulement chez les insectes que l'on rencontre une pareille force musculaire, mais aussi chez les mollusques. C'est ainsi que M. Plateau a déterminé l'effort de traction nécessaire pour provoquer l'ouverture des valves, c'est-à- dire pour vaincre la contraction des muscles qui les maintiennent fermées. Ses expériences ont porté sur un assez grand nombre de mollusques; le dispositif en est fort simple. Deux crochets métalliques sont introduits entre le bord des valves: l'un sert à suspendre le mollusque, l'autre soutient un plateau de balance que l'on charge graduellement de poids, jusqu'à ce que les valves commencent à bailler et s'écartent nettement d'un bon millimètre. Les valeurs ainsi obtenues sont énormes. Ainsi, une huître pied de cheval peut soutenir, sans s'ouvrir, un poids de dix-sept kilogrammes! Un homme qui voudrait l'imiter serait obligé d'enlever à bout de bras, — ce qui serait un peu gênant, — 80 grosses locomotives. La « clovisse » des Marseillais porte plus de cinq kilogrammes et la moule peut résister à des efforts de traction de trois kilogrammes. Tous ces mollusques supportent, par conséquent, plusieurs centaines de fois leur propre poids. Les rapports les plus élevés ont été fournis par un petoncle et une telline qui supportent respectivement 492 et 346 fois leur propre poids, coquille comprise. Imaginez un acrobate soulevant un poids de trente-cinq mille kilogrammes...


La force des crabes est inouïe; pour l'évaluer exactement, on attache l'animal sur une planchette placée verticalement ; la partie immobile de la pince est solidement fixée au moyen d'un fil de laiton. Ce doigt mobile laissé libre, on fixe assez près de son articulation un second fil de laiton se prolongeant intérieurement en une tige verticale à laquelle est suspendu un plateau de balance que l'on peut charger de poids.
Le crabe maintient en général, la pince fermée. Des poids, puis de la grenaille de plomb sont versés dans le plateau jusqu'à ce que la pince commence à s'ouvrir. Il faut, bien entendu, obliger l'animal à mettre en jeu son maximum d'énergie musculaire. Dans ce but, on introduit une épingle à cheveux entre la queue reployée et la paroi du ventre et on l'agite. Cette titillation est particulièrement désagréable au crabe, qui, de rage, serre sa pince le plus possible.


En procédant de la sorte, M. Plateau a constaté que la force de contraction de la pince pouvait, chez le crabe, dépasser 2 kilogrammes. II a trouvé 2 kg 322 grammes comme poids moyen auquel la contraction des muscles fléchisseurs de la pince gauche fait équilibre et 1 kg 959 grammes pour la pince droite. Si l'on rapporte ces valeurs au poids de l'animal, on trouve que la pince droite du crabe, c'est- à-dire la plus faible, est capable de soutenir près de trente fois le poids du corps tout entier, tandis qu'un homme adulte, du poids moyen de 70 kilogrammes, serrant le dynamomètre avec la main droite, ne développe qu'une force de 50 kilogrammes environ, c'est-à-dire d'un peu plus des deux tiers de son propre poids.
Cette force, si remarquable qu'elle soit, ne l'est peut-être pas encore tant que celle déployée par les petits oiseaux dans leur migration. Ils traversent sans se reposer des espaces immenses, par exemple, d'une traite, la Méditerranée. Si l'on songe aux vents terribles qui règnent parfois sur la mer, on voit quel travail considérable représente le passage du Midi de la France en Afrique et vice versa. L'hirondelle arrive à faire de 90 à 150 kilomètres à l'heure, ce qui est humiliant pour l'es automobilistes.

 

« Un monstre terrifiant »
Ce petit coléoptère, doué d 'une force énorme pour sa taille, deviendrait une apparition d'épouvante qui sèmerait la terreur.

Les petits animaux, constructeurs de demeures colossales


Voilà pour les prodiges de force musculaire. Admirons maintenant le travail, voyons les tout petits, architectes et constructeurs. On sait que les termites élèvent des demeures colossales. Celles-ci se présentent sous la forme d'énormes monticules en forme de pain de sucre ou de dunes à plusieurs pointements et édifices à l'aide d'une terre si dure qu'un homme ou un bœuf peut monter dessus sans les défoncer. Ces monticules d'argile triturée peuvent avoir jusqu'à cinq mètres de hauteur, soit mille fois la longueur d'un des ouvriers qui les ont élevés. La tour Eiffel, qui nous paraît si grande, n'a en somme que 187 fois la taille de l'homme. Si celui-ci voulait et pouvait faire aussi grand que le termite, il devrait élever une construction de 1.600 mètres, soit, à peu près, la hauteur du Puy de Dôme.
Sans aller si loin, nous avons, tout près de nous, les constructions des fourmis, qui, tantôt, pénètrent dans le sol, tantôt s'élèvent en monticules de structures variées. Dans le premier cas, le sol est miné parfois jusqu'à une profondeur d'un à deux mètres de canaux entrecroisés, qui, mis à bout, formeraient certainement une longueur égale à cent mille fois la longueur d'une fourmi. Le métropolitain n'est rien à côté.

 

Fourmis et termites construisent des nids sur les tiges des arbres; les nids des seconds portent le nom caractéristique de « têtes de nègres » et sont parfois si lourds qu'ils font craquer les arbres les plus résistants.
Mais voici les çhalicodomes (assez analogues aux abeilles) qui construisent, au vol, avec du véritable mortier, des demeures si solides qu'elles pèsent jusqu'à 30 kilos et qu'il faut des instruments de fer pour les entamer. Certains de ces nids, toujours tournés vers le Midi et semblables à des paquets de boue projetés par une voiture contre un mur, ont été construits avec des matériaux recueillis à 2 kilomètres de là: l'infortunée bestiole ne rapportant à chaque voyage qu'une boulette de la grosseur d'une tête d'épingle, on voit quel travail colossal cela représente.

« Un monstre invulnérable »
Cette courtilière, hôte malfaisant de nos jardins, deviendrait un être invulnérable aux balles de fusils

Les petits animaux, véritables arsenaux de guerre


Les imaginations des auteurs des féeries les plus abracadabrantes semblent timides à côté des réalités observées chez les insectes. La nature a semblé s'amuser en fabricant le sphongophone balliste avec sa tête prolongée par une corne qui revient presque jusqu'à la partie postérieure en passant par-dessus le dos ; le sphongophone de Bennet dont l'appendice de devant rencontre l'appendice de derrière ; voilà les abdomens vaudevillesques de la cyphonie fourchue et de la cyphonie tripide; la tete de ce bocydium globulaire s'agrémente de boules perchées sur des branches, l'oeda et le menbrace sont vraisemblablement bossus,
La nature, prise ici d'une sorte de fantaisie joyeuse, s'est montrée maternelle pour d'autres insectes en les recouvrant d'une peau si dure que certains coléoptères originaires des cassides, par exemple, ne peuvent se transpercer qu'avec une épingle frappée à coups de marteaux et on en fait des bijoux en les incrustant de pierreries, comme des métaux!


Outre cette carapace, que de moyens de défense qui constituent un véritable arsenal de chirurgie, depuis les larges mandibules des capricornes, qui sont de véritables forceps, jusqu'à l'aiguillon de l'abeille, que l'on ne saurait mieux comparer qu'à une seringue de Pravaz. D'autres, comme par exemple, les actinies, torpilles qui, au moment voulu, envoient des myriades de flèches dans l'animal qui vient troubler leur repos. Les bombardiers, eux, procèdent autrement en employant le canon; ces insectes, en effet, quand on les poursuit, émettent en arrière une fumée acre en produisant une véritable explosion, qui suffit à mettre en fuite leur ennemi.


Toutes ces bêtes, d'ailleurs, présentent une résistance vitale incomparablement supérieure à la nôtre. Voyez un peu cellt des tortues.

Nous nous sommes donné beaucoup de peine, raconte le naturaliste Kersten, pour trouver une manière quelconque de tuer les tortues que nous voulions placer dans nos collections, en les torturant le moins possible et en évitant autant que faire se pouvait d'endommager la peau et la carapace; mais leur vitalité déjoua tous nos efforts. Il ne nous resta finalement qu'à scier circulairement, sur le côté, la carapace résistante dans laquelle se réfugiait l'animal en vie, puis à déterminer la mort en lésant seulement alors les parties nobles. J'entrepris plus tard des expériences nombreuses dans le but de rechercher le procédé le plus propice pour tuer ces animaux. Je plaçai l'animal, la tête en bas, dans un seau rempli d'eau, je serrai le cou dans un lacet aussi solidement que possible : mais, même après avoir été privé d'air pendant des jours, l'animal vécut encore aussi sain que précédemment ; j'enfonçai une forte aiguille entre la tête et la première vertèbre cervicale et je la remuai de côté et d'autre afin de séparer le cerveau de la moelle : vains efforts, la tortue demeura vivante. J'essayai de l'empoisonner : à l'aide d'un tube de verre effilé, j'insufflai de l'alcool dans la bouche et dans les cavités buccales et nasales et je répétai cette manœuvre avec une solution de cyanure de potassium, j'insufflai même cette redoutable liqueur dans les cavités oculaires et dans les points limités où la peau avait été dénudée; à ma grande stupéfaction, la tortue resta en vie. La décollation, elle- même, n'atteint pas le but proposé ; car, pendant des jours encore, la tête décapitée mord aux alentours, et les membres s'agitent avec le tronc pendant un temps assez long. Le seul moyen qui paraît efficace pour tuer une tortue sans l'ouvrir, consiste à la plonger dans un mélange réfrigérant, car ces animaux qui d'ailleurs ont la vie si dure, sont absolument vulnérables au froid.


Certains animaux sont des « monstres » non par leurs formes mais par leurs fonctions. Mais là ils sont trop et il nous faut nous borner. Contentons-nous de citer les noctiluques qui, quoique microscopiques, produisent le magnifique spectacle de la phosphorescence de la mer. D'autres se font remarquer par leur grande vitalité : on les coupe en deux et on croit les avoir tués. Point. Chaque tronçon se transforme en un animal complet. En divisant, nous avons multiplié; c'est à y perdre son arithmétique. Certains restent des mois, des années entières, sans bouger et sans manger : et c'est le cas des minuscules tandigrades qui vivent dans la mousse. Quand celle-ci est humide, ils font bombance, mais qu'elle vienne à sécher, ils ne s'en font pas plus de bile : ils s'endorment jusqu'à ce qu'une goutte d'eau vienne les réveiller.


En admirant l'art, l'ingéniosité de ces êtres microsco­piques forcés de se livrer à une "lutte géante pour vivre, écrasés qu'ils sont par tout ce qui les entoure, comment ne pas s'écrier en renversant le mot de Gavarni cité au début de cet article : « C'est cela qui donne une triste idée de l'homme »

 

Henri Coupin

« Un effroyable sous-marin »
Ce petit animal marin actuellement microscopique, est un véritable arsenal de guerre qui irradie des myriades de flèches. Grossi dans des proportions que montre notre dessin, il mettrait à mal une flotte puissante.

Pour lire l'intégralité du savoureux texte extrait « Des mémoires littéraires » de H.J.Rosny se trouvant sur l'excellent site consacré à cet auteur, cliquez sur l'image ci contre

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