Ce début de siècle est celui des grandes espérances et les progrès de l'aéronautique viennent ajouter à ce dynamisme qui était de mode à cette époque et permettre de fonder de grands espoirs sur la société de demain. Une société qui sera dans les airs, où ne sera pas ! Et l'on voit fleurir au grès des nombreuses revues, tout cet espoir que l'on porte sur le plus lourd que l'air et il n'est pas rare de rencontrer dans le fameux «  Je sais tout  » nombre de rubriques où l'on fait l'apologie de ce tout nouveau moyen de transport.Ainsi Santos-Dumont dans le N° 1 du 15 février 1905, fonde-t-il de grands espoirs dans la technologie aérienne dans son article «  Ce que je ferai, Ce que l'on fera  » magnifiquement illustré par Henri Lanos, tout comme celui du très célèbre Camille Flammarion pour cet autre article intitulé « Quand nous aurons des ailes » du 15 Septembre 1907 qui voit également dans ce nouveau système de transport le moyen d'aller beaucoup plus loin et beaucoup plus vite. Mais il s'agissait là de visionnaire qui pensaient que le progrès ferait avancer les choses de manière plus conséquente et si la science devra encore attendre quelques décennies pour démocratiser ce moyen de transport, les écrivains eux, brûlèrent bien des étapes !
Dans ce domaine, nul doute qu'Albert Robida fut l'un des pionniers du genre et qu'il s'agisse de « Le XXème siècle »  , « La guerre au XXème siècle »,  «  Un potache en 1950 » ou « En 1965 », toutes ces œuvres témoignent, souvent avec sarcasme et humour, de cet espoir dans un transport moins cher, plus sûr et surtout à la portée de toutes et de tous.....mais non sans conséquence !Inspirée probablement par ce courant littéraire, Marthe Miallier dans le numéro 25 du 25 novembre 1909 de la revue « Journal de l'université des annales », fait-elle également bien avant le maître en la matière, une petite virée nostalgique et poétique dans ces airs où « Les cailloux de la route céleste sont trop au-dessus de nous, pour gêner en rien notre marche ». Car dans cette nouvelle, s'est bien de cela qu'il s'agit, de la marche du progrès que rien ne viendra arrêter. Bien plus radicale que Pierre Giffard et sa fameuse « Fin du cheval » ce n'est pas la bicyclette ni même l'automobile qui va venir remplacer ce fidèle ami de l'homme, mais bien l'aéroplane !
Je vous invite donc pour cette petite promenade aérienne toute féminine, en sensibilité et en douce rêverie, appuyée par la plume inspirée d'un Robida pour qui l’exercice était devenu plus qu'une habitude : une marque de fabrique !

« L'aviation : Journal de bord » par Marthe Miallier

 

...Je suis en aéroplane, et, pour occuper mes loisirs, grâce à l'ingéniosité avec laquelle ces véhicules sont maintenant installés, je vais écrire mon journal, pour moi-même, écrivant n’importe quoi, lorsque cela me fera plaisir. Quelle bonne idée, tout de même, mes parents ont-ils eue là! Nous ferons ainsi le plus agréable voyage de vacances que j’aie jamais vu. Quels progrès la science n’a-t-elle pas réalisés depuis dix ans! En ce temps, lorsque je rentrais le dimanche, tout heureuse de ma randonnée en auto, je ne concevais certes pas un autre genre de locomotion plus rapide, moins dangereux et plus élégant! Comme ce lourd véhicule est démodé, maintenant! Comme on a eu raison de l'abandonner! Ces pannes étaient si ennuyeuses, et ces crevaisons de pneus, donc! .

Aujourd'hui, je n’ai rien à craindre de tout cela. Les cailloux de la route céleste sont trop au-dessus de nous, pour gêner en rien notre marche; puis, le moteur est perfectionné.

Donc, ce matin, nous nous sommes enlevés du Bois de Boulogne à destination de l'Alsace. Nous sommes passés au-dessus de l'Arc de Triomphe de l’Étoile, où beaucoup d’ouvrières et d'employés attendaient l'aéro- bus, qui les mène à leurs magasins et à leurs chantiers. Nous n'avons rencontré que peu d'autres aéros, en raison de l'heure matinale; d’ailleurs, cela n'a pas grande importance, car chacun a, ici, toute la place voulue.

La Seine a l'air d’un long ruban brillant, semé de points noirs : ce sont des bacs automobiles qui déchargent leurs matériaux et leurs marchandises. Des voitures chargées de légumes circulent. L’éveil de Paris est vraiment très intéressant à suivre à la jumelle, du haut de notre frêle esquif.

Arrêt obligatoire à l'octroi; il y a du monde avant nous. Nous étendons nos ailes et nous voilà en panne stable. Dire que nous sommes mieux outillés que les oiseaux eux-mêmes!

Nous voici de nouveau circulant librement dans les airs; voici la Seine, puis la Marne.. Le paysage change toutes les secondes, les champs passent et s’éloignent très vite; les uns ressemblent à des nappes d’or ondulant,d’autres sont couleur d'espérance, et les troupeaux y mettent une note claire ou brune. Les maisonnettes ressemblent à ces petits chalets de bois que l'on rapporte de Suisse et dans lesquels se trouve un encrier ou un nécessaire à coudre! Les églises des villages sont des petites maquettes de grands monuments.

Voici une forêt! Comme elle paraît grande, maintenant que nous sommes au-dessus d'elle! On n’a pas du tout ce bel effet d’ensemble lorsqu’on en suit les sentiers.

Voici Château-Thierry. O bon La Fontaine, qu’aurait dit le bonhomme de la fable si notre aéro lui était tombé sur le nez, en place du gland!

Reims... La cathédrale semble un objet de vitrine en ivoire, sculpté par des Chinois. Ce nom de Reims me rappelle celui de Bétheny; à cette petite ville aussi peut se rapporter la parole de l’écriture :

« Oh! Bélheny! Bétheny, terre de Champagne, tu n’es pas la moindre entre les différentes terres de Champagne, car c'est de toi qu’est né un grand miracle  !»

Oui, c’est de là que, voici environ dix ans, des hommes se sont envolés dans les airs, s’y poursuivant en grand nombre, sous les yeux émerveillés d’une foule considérable : on eût dit dit que le «  roi déchu, se souvenant des beautés des cieux  », voulait aller toujours plus haut dans l’azur, essayer de rentrer dans la primitive patrie! Ces hommes, qui ont ainsi donné le meilleur d’eux-mêmes, sont arrivés au magnifique résultat dont j’expérimente, aujourd’hui, le charme tranquille. On serait tenté d’oublier, dans l’égoïsme de la jouissance, que cette jouissance fut achetée par des vies humaines. Je me rappelle l’intérêt avec lequel je lisais les journaux, dont les colonnes, trop courtes à mon avis, publiaient les expériences et les résultats de la science nouvelle. Comme je comptais les succès de Latham, qui était mon héros! Quelle fierté, lorsqu’il réussissait! Quel ennui si un autre aviateur se plaçait en tète!...

Tous ces souvenirs se pressaient en foule dans mon souvenir, tandis que notre aéro filait à toute allure vers l’Est et que nous étions déjà bien loin de la cité des prodiges, j’essaie de mesurer le progrès réalisé par la science depuis ce temps-là. Où sont les incertitudes, les dangers, les fréquentes chances d’accidents? Tout cela a disparu, aplani sous la poussée formidable et sans cesse grandissante de l’esprit humain que rien ne rebute, et qui, dans son audace, vicie peu à peu tous les secrets de l’impénétrable nature, la poussant dans ses derniers retranchements! Dame Nature se venge parfois, et cruellement; elle fait payer cher à l’homme sa victoire, elle jalonne le chemin de morts, mais elle ne saurait éteindre l'énergie humaine, qui est plus grande que tout!

Hier, nous avons visité Strasbourg. C’est une jolie ville, et cela fend le cœur de penser qu’elle n’est plus à nous. Elle est abîmée par les mille et un « palaces » ultra-modernes, surmontés, chacun, d’une large terrasse d’atterrissage pour les aéros. C’est aussi sur la terrasse que se trouve l’aéro-garage. L’animation et le mouvement sont plus grands en l’air qu’en bas!

Je constate que le cheval est décidément appelé à disparaître de la création : le moteur l’a tué.

La jolie cathédrale à l’unique flèche n’a plus besoin de se pavoiser au passage du Zeppelin.

En effet, un service de dirigeables fonctionne entre Berlin et cette ville. Progrès de la science! Personne ne fait plus attention aux évolutions de ces poissons géants.

Maintenant, nous quittons Strasbourg, pour rayonner dans toute l’Alsace; ensuite, nous irons en Belgique, puis eu Angleterre. Je te ferme donc, ô mon petit journal de voyage, car, vois-tu, je n’ai plus d’impressions bien remarquables à consigner dans tes pages. Je ne te rouvrirai que lorsque nous serons entre ciel et mer, au-dessus de la Manche!...

Te voilà donc de nouveau sur mes genoux, mon cher petit confident. Depuis quinze longs jours, tu étais enfoui dans un sac de voyage où il faisait bien noir. C’est que, vois tu, je n’aurais eu qu’à te dire quels étaient les monuments que j’avais vus; or, je ne veux pas faire de toi un supplément du Baedeker...

Mais, maintenant, depuis quelques heures, nous ne faisons que rencontrer des aéros; heureusement que la route est large; il n’y a pas de tournants dangereux, indiqués sur des poteaux inesthétiques et au bord desquels se dressent, menaçantes, d’horribles pancartes réclames.

Nous voilà au-dessus de la mer. l.'aéro va doucement, car il y a beaucoup de véhiculés dans ces parages. Si Blériot était venu dix années plus tard, il n'aurait pu faire retentir le monde du bruit de son exploit. Aujourd'hui, tout le monde se promène au-dessus des vagues comme des mouettes! Le mal de mer n’est plus à craindre. Comme l’on va vite! Nous voici déjà en vue de la falaise)...

Me voici sur mon retour. Je rentre en glorifiant ceux qui ont, de près ou de loin, contribué au développement de l’aviation : depuis les ingénieurs cherchant la meilleure coupe d’aile, jusqu'au modeste ouvrier qui monta les pièces du moteur. Gloire aux hommes de science qui, depuis cinquante ans, se sont élevés, d’un essor toujours plus puissant, vers des hauteurs qui semblaient inaccessibles. Depuis les chemins de fer, qui nous transportaient si loin et si vite, quels progrès se sont réalisés!

Ce fut le télégraphe, qui nous permettait d'avoir des nouvelles récentes; le téléphone,où la voix même de l'absent se reconnaissait; la bicyclette, qui nous procura tant de douces joies; l’automobile, qui fit fureur, et bien légitimement; la télégraphie sans fil, invention merveilleuse. Voici, maintenant, l’aéroplane vulgarisé. Où s’arrêtera la conquête de l’esprit humain?

Oui, l’on peut être heureux de vivre en 1920, époque de toutes les commodités et de tous les luxes; mais il faut être reconnaissant aux hommes qui ont peiné, qui ont souffert, qui ont lutté, qui ont donné leur vie même pour construire cet édifice sublime: la science.

Sur ces conclusions, je ferme mon journal de bord. Que ce voyage en aéroplane aura donc été une grande leçon de choses!

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