Revue "Nos Loisirs" 24 Janvier 1909

Le docteur secoua d'un air pensif sa mèche de cheveux blancs comme neige, et sa figure, soudainement grave, s'allongea. C'était un chérubin de soixante-trois ans, tout rose, tout rond, avec un rire qui montait de son cœur comme un glouglou. Il suait la santé par tous les pores, et il offrait à ses clients la vivante incarnation de l'optimisme, l'essence de la bonne humeur.

 

On ne pouvait pas rester longtemps malade quand il vous soignait ; en trente années de pratique journalière, il n'avait pas eu dix malades dont la guérison fût au delà de ses méthodes curatives. Mais, cette fois, une certaine gravité assombrissait sa vieille face et l'inquiétude perçait clans son regard. Evidemment, il me croyait endormi, comme j'aurais dû l'être, après l'examen fatigant qu'il venait de me faire subir.

 

De mon poste d'observation, sous les couvertures, je voyais et j'entendais tout ce qui se passait autour de moi, à mon sujet : j'en voyais et j'en entendais trop, hélas ! Pour ma tranquillité d'esprit. Je flairais le danger dans l'attitude exceptionnellement réservée du médecin.

 

- Un cas difficile ! disait-il à ma femme,

- Est-ce vraiment si sérieux ? Murmura ma femme en tremblant.

- Pas si sérieux que nous ne le remettions sur ses quilles, j'espère, d'ici une semaine ou deux. Mais — il appuyait fâcheusement sur le mot — il faut qu'il passe par une opération, et tout de suite.

 

Immédiatement, je perdis toute envie de guérir. Rien ne comptait plus après une pareille sentence. Si les morticoles devaient m'ouvrir comme une boîte de conserves et jouer à cache-tampon avec mes intérieurs, pendant que je serais étendu sans force et sans défense, ce n'était sûrement plus la peine de vivre !

Mon angoisse morale fut aussi cruelle que mes souffrances physiques lorsque, après une nuit de fièvre et de rêves fantastiques, je m'éveillai le lendemain pour constater que tout était prêt, qu'on allait me transporter à l'hôpital, c'est à dire au billot, au hachoir, et m'y découper.

 

Le voyage fut un cauchemar. Enfin, je me trouvai, gisant parmi tout un attirail de scies, de couteaux, de pinces, de tire-bouchons, sur une table qui ne ressemblait pas mal au chevalet de torture de l'ancien temps Mais les victimes, alors, étaient moins innocentes que moi. Le groupe des jeunes docteurs qui entouraient ma carcasse paraissait tout à fait joyeux. Ils n'attachaient pas du tout à la circonstance présente autant d'importance que moi.

 

- Ça se fait en deux temps et trois mouvements, dit un de mes assassins, le sourire aux lèvres. Il avait une barbe blonde, des lunettes, et il ajusta sur mon visage je ne sais quoi en forme de cône, j'aspirai de l'éther. Il n'y avait pas moyen d'y échapper. Je me sentis glisser hors du monde, hors de la vie, et la terrible chute n'en finissait pas. De plus en plus vite, je filais sur l'interminable pente de la mort. Je tâchais de résister. J'essayais de m'accrocher aux parois. En vain j'incrustais mes doigts, je piquais mes talons dans la surface implacablement unie qui me supportait...

 

Mes efforts étaient inutiles. Les voix de l'entourage devinrent confuses et lointaines. J'éprouvai une vague sensation de douleur, mais je la surmontai en riant, car j'eus subitement conscience que ce n'était pas ma douleur, mais la douleur d'un autre !... par exemple, de l'assassin blond qui s'intitulait chirurgien, ou du garçon de salle qui gardait la porte, ou du grand escogriffe en uniforme qui circulait dans le corridor, ou de l'infirmière au bonnet blanc, aux yeux mauves. La douleur avait son siège dans mon flanc, sans aucun doute, mais c'était un autre qui la sentait. C'était une énorme farce, et je savais que j'étais seul dans le vaste univers à la goûter ou même à la comprendre.

 

Alors, le désir de quitter l'incommode posture où j'étais retenu sur la table d'opération s'empara de moi tyranniquement. Je savais bien qu'il fallait me tenir tranquille ; mais il me sembla que j'étais isolé au milieu d'un nuage de vapeur blanche, et je n'eus pas plus de peine à surgir du chevalet que je n'en aurais eu à me lever d'une chaise.

 

J'étendis mes membres pour assurer le jeu de mes articulations et je m'élançai sur ce que je prenais pour le sol de la chambre. Ce fut une étrange impression d'arriver subitement à l'extrémité du plancher, de regarder par-dessus le bord et de mesurer une chute à pic de cinquante pieds au moins jusqu'à l'étage inférieur. Ma raison ne me rendait pas un compte satisfaisant de la situation, je percevais seulement un énorme visage humain, couvert de barbe blonde, qui m'observait derrière une immensité de blancheur, à travers un brouillard impénétrable. Je voulus écarter cette hallucination ; elle persista. Alors je perdis complètement la raison, et je fis un plongeon dans l'espace, par-dessus le rebord du plancher...

 

Etes- vous jamais tombé d'une grande hauteur ? Je pense que non ; ce n'est pas un amusement très commun. Mais si cela vous est arrivé, vous connaissez la sensation de passer comme une flèche à travers un tube d'air qui semble se solidifier, qui vous étreint, qui grince à vos oreilles à mesure que son étreinte se resserre. Vous vous demandiez quand vous arriveriez au fond de l'horrible tube. Au moment où la question se formula dans mon esprit, je sentis le rude choc de mon corps entrant en contact avec le sol, et je ne m'expliquai pas qu'il en restât des morceaux. Que dis-je ? A ma grande stupeur, je me trouvais intact, j'avais frappé sur un monceau de matière molle, quelque chose comme une montagne de linge. Je me débattis, je me dégageai des plis, je finis par atteindre le plancher.

Je ne sais comment j'eus l'idée, ni comment je fus conduit à vérifier que je n'avais plus mes proportions normales. Je m'étais réduit à un diminutif d'homme incroyablement petit. Je me trouvais justement près de la canne d'un des inspecteurs de l'hôpital, que je reconnus au bois particulier dont elle était faite. Elle me dominait maintenant comme une tour Eiffel. Elle me servit à mesurer ma taille, qui dépassait à peine: le bout ferré. Certes, je n'avais jamais caressé de folles illusions au sujet de mon importance dans le monde. Toute la race humaine n'est qu'une troupe de fourmis rampant autour d'une espèce de cochonnet que nous appelons la terre. Mais il est humiliant de se trouver soudain ramené aux dimensions d'une sauterelle, sans posséder le puissant mécanisme moteur de cet animal. J'appelai à moi toute ma philosophie pour envisager la situation ; je me consolai en pensant qu'il y avait des créatures encore plus petites que moi, bien vivantes, et mêmes utiles. Sur quoi, je me hasardai à chercher aventure.

Tous les objets prenaient un aspect nouveau et curieux ; les plus communs m'apparaissaient comme des phénomènes gigantesques. Un coffre à médecine fut pour moi comme une grande maison d'architecture excentrique ; un tas de poussière dans le coin de la vaste pièce grouillait d'une multitude d'êtres animés qui, j'en suis sûr, échappent à la vue d'un homme normal.

 

Un privilège me réconciliait avec ma singulière position : la faculté d'aller sans obstacle partout où il me plaisait. Je me tins un moment à l'ombre d'une cuvette de porcelaine, et je contemplai le passage de plusieurs paires de jambes démesurées. C'était pour moi une sensation bizarre de voir un pied monstrueux et une jambe enveloppée d'un pantalon s'élever en l'air, se précipiter sur le sol avec le fracas d'une montagne qui croule, et l'autre jambe répéter le même exercice. Un bruit de tonnerre retentissait à mes oreilles de Lilliputien. Ma curiosité faillit me coûter la vie.

 

Je m'étais risqué hors de l'abri que m'avait offert un pied de chaise pour passer sous une table assez éloignée, quand un homme s'avança du bout de la chambre dans ma direction, marchant à grandes enjambées. J'eus beau courir, les pieds du monstre, approchaient, et je ne savais pas où me fourrer. En une seconde, l'ombre d'un énorme pied me couvrit, et l'air déplacé me fouetta le visage. Instinctivement, je me laissai tomber à terre et je m'y aplatis. La masse de cuir s'abattit juste sur moi. Si je ne fus pas pulvérisé, c'est parce que le talon et la semelle touchèrent le sol respectivement devant et derrière moi : je me recroquevillai sous l'arche tutélaire qui marque le creux du pied.

 

Le danger passé, j'eus à peine recouvré mes esprits, que je m'enhardis plus encore à tenter de nouveaux exploits. J'entrepris de grimper après un pied de table qui se dressait sur mon chemin comme un tronc d'arbre fabuleux. Je ne sais comment j'atteignis le sommet; cependant, je l'atteignis. Le bois de la table était beaucoup plus rugueux pour moi qu'il n'apparaissait probablement aux yeux du vulgaire. Je me rappelle que, plusieurs minutes, je restai dangereusement suspendu au rebord de la table comme au bord d'une montagne à pic. Une fois hissé sur le plateau, ma curiosité me conduisit vers un objet vaste et noir, que je reconnus à la fin pour un » chapeau melon » posé sens dessus dessous. Je gravis les flancs recourbés du melon, m'a- grippant des pieds et des mains aux aspérités du feutre, et j'arrivai sur la bordure. Je rampai avec circonspection et jetai un coup d'œil dans l'abîme : c'était comme l'ouverture d'un cratère, un gouffre béant de ténèbres. A m'y laisser choir, je me fusse rompu les os. Je m'empressai de battre en retraite et de reprendre pied solidement sur le plateau.

Quelques pas plus loin, je me trouvai en présence d'un gros corps couvert d'excroissances jaunes et brillantes comme des boutons de cuivre. Un examen attentif me permit de reconnaître une orange ! A quelque distance de là, je remarquai une coupe à Champagne, imposante comme le Palais de Cristal ; je me demandai s'il serait possible d'en escalader les parois glissantes. Aussitôt pensé, aussitôt essayé. J'ôte mon veston et je m'escrime, j'avance, je retombe, je ne me décourage point ; enfin me voilà à califourchon sur le bord arrondi. Par hasard, le verre était plein d'eau ; il me faisait l'effet d'un lac plutôt bourbeux.

 

Tout à coup, paf ! Je dégringole dans ce marécage. Je suppose que j'avais été précipité par un coup d'air provenant d'une porte ouverte brusquement. Sans perdre mon sang-froid, je tirai ma coupe et, bien qu'il ne fût pas commode de trouver une prise solide sur le verre mouillé, j'arrivai à sortir de ce qui aurait pu être pour moi un sépulcre aquatique ! J'étais comme un rat trempé.

Puisqu'il était écrit que j'échapperais à tout péril ce jour-là, fut-ce de l'épaisseur d'un cheveu, je résolus d'affronter les rencontres les plus hasardeuses et les plus surprenantes pour ma nouvelle manière de voir. Ayant aperçu, dans un coin de la table, » une masse de matière sombre, dont une extrémité s'avançait dans l'espace et dégageait du feu avec de la fumée, j'y courus directement.

 

Le bout opposé à celui qui brûlait paraissait avoir été saturé d'eau, mordu, haché, au point de tomber en pulpe et en débris. La chose était de forme cylindrique et, lorsque j'y fus juché, je m'aperçus qu'il s'en échappait une odeur acre. Par-dessus l'extrémité enflammée, je plongeai mes regards dans un amas croulant de cendres chaudes, d'où s'élevaient des vapeurs asphyxiantes. Je reconnus aussitôt le parfum ! C'était un cigare et, je dois le dire, pas fameux. Je me rappelai que je l'avais déposé moi-même sur le bord de la table en me livrant aux mains du chirurgien. La fumée en était si rance et si nauséabonde que je décidai, si la providence me permettait jamais de grandir et de reprendre ma pM'étant reposé, je me laissai glisser de la table, je me faufilai par la porte ouverte et par un long- corridor dans une autre pièce. Je me heurtai aux pilastres laborieusement sculptés d'un piano droit, et j'y grimpai sans difficulté. Dans le clavier aux larges touches, les noires ressemblaient à des bateaux à l'ancre sur une mer d'ivoire. En sautant avec force, je pus produire des sons qui retentirent au loin dans les ténèbres de la caisse.

 

Pendant que je m'amusai ainsi, j'entendis un frou-frou de jupes et je me réfugiai derrière le couvercle relevé, d'où je pus contempler la redoutable et gigantesque musicienne. Elle s'assit et plaqua de vibrants accords dont j'eus le tympan presque fendu. C'était comme un roulement continu de tonnerre, mêlé aux cris variés d'une douzaine de sirènes. Je sentis que ces terribles vibrations me tueraient si je ne me mettais en sûreté immédiatement, et je pris ma course tête baissée vers l'extrémité du clavier. Je m'attendais aux clameurs aiguës de la belle artiste ; mais elle était si absorbée par son inspiration qu'elle ne me vit pas.lace parmi les hommes, de renoncer au tabac, ou de changer de fournisseur.

J'arrivai sur le tapis tout: échevelé, palpitant, et je sortis dans le hall. En me glissant le long des murs, j'atteignis la porte d'entrée de l'hôpital que la négligence du gardien avait laissée ouverte. Quelques- minutes affreuses encore, et je me trouvai au grand air. Je dégringolai le perron de marche en marche jusque sur le trottoir. Comme je restais en contemplation devant la taille prodigieuse des pavés, avant de traverser la chaussée, voilà qu'un ouragan déchaîné je ne sais d'où me soulève de terre, puis me précipite de tout mon long sur les dalles. J'eus à peine le temps d'apercevoir deux énormes roues, cerclées de caoutchouc, tournant avec une rapidité fulgurante, et je compris que j'avais été enveloppé dans le tourbillon d'air poussiéreux d'une automobile. Assurément, la rue n'était pas faite pour moi, si je tenais à ma faible étincelle de vie ; je m'engouffrai dans un petit restaurant.

 

La faim me tourmentait cruellement ; le parfum des mets fut délicieux à mes narines. L'endroit était pourtant fort sale. Un gros homme était attablé près de la porte ; il mangeait je ne sais quoi de mou avec une cuiller, les yeux à demi clos de contentement. Gravissant jusque sur sa table, j'atteignis le bord de son assiette et je me penchai pour avaler une parcelle de la bouillie dont il se gorgeait ; mais mon pied glissa et je plongeai la tête la première dans cette équivoque purée. A ce moment même, le dîneur affamé passait sa cuiller sous mon corps ; je me sentis emporté en l'air ; je ne savais pas encore ce qui m'arrivait, quand la large bouche du bonhomme s'ouvrit toute grande devant moi. Son haleine brûlante m'enveloppait, ses dents s'avançaient comme des crocs : j'allais pousser une clameur de détresse et d'agonie, lorsque...

 

– Dans quelques jours, disait le chirurgien à barbe blonde, il sera solide comme un écu de six livres. Excellente opération, et si facile ! Mettez-le au lit, et qu'il se tienne en repos. Le chloroforme lui laissera peut-être un mal de tête, mais pour le reste, il est remis à neuf.

Je vis le visage de ma femme incliné vers moi, tout brillant de joie.

– Oh ! Bob, s'écria-t-elle, avec un léger sanglot dans la voix, je suis si contente que ça soit fini !

– Et moi, donc ! Répondis-je dans un souffle.

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