Le roman de Georges Meirs « L'affolante minute » que je viens de résumer sur les pages de ce site, fut écrit sur les bases d'une nouvelle publiée dans son hebdomadaire « Le cri ». Il s'agissait d'un journal médical, littéraire et mondain, diffusé gratuitement à tous les médecins de France, d'où son extrême rareté.
L'activité protéiforme de ce singulier personnage, fit qu'il exerça son talent de conteur, dessinateurs, critiques...dans bien des publications, et fait montre d'une curiosité scientifique hors du comme pour un homme de lettre, comme en témoigne cette lettre qui lui fut adressée par un de ses amis

 

Cher monsieur


J'ai bien reçu votre lettre et je m'empresse de vous faire parvenir la liste des travaux acceptés en dehors du travail du DR Bouchon que vous connaissez. Il aurait été préférable que nous causions personnellement
sur ce sujet, car par correspondance il est assez difficile de se faire comprendre. 11 n'est pas impossible que fasse une petite excursion pour vous voir, seulement je ne sais pas si mon temps le permettra.11 faut se débrouiller ainsi pour le roman actuel comme on peut. Pour tes autres ça va peut-être mieux. Un scénario étant un simple jeu d'idées, je n'avais pas l'intention de vous influencer dans la conception.
Le but de faire un homonculus, le rêve des médecins-sorciers du moyen age, justifie suffisamment ces opérations hardies. Seulement l'état actuel de la science ne permet pas de supposer que l'on puisse arriver à faire une synthèse de ce que l'on appelle la force vitale (Vis Vitalis). On est arrivé à faire des fécondations artificielles des ovaires par un fil de plasma stérilisé mais on n'a créé nulle vie, si possible qu'elle soit, sans avoir à faire à un individu déjà préexistant de l'espèce. On peut provoquer une reproduction chez les espèces même supérieures sous l'influence de la fécondation naturelle, mais parviendra-t-on jamais de synthétiser la forme secrète qui existe préformée dans les hydrocarbonates, la lécithine, l'albumine et les sels organiques de l'œuf ? Le protoplasme des cellules, ou bien une simple cellule microscopique renferme tant de forces mystérieuses, qu'il est assez difficile de concevoir que l'on puisse penser à reproduire une seule cellule. La nature que nous ne connaissons que très superficiellement a mis plusieurs millions d'années pour faire la synthèse du protoplasme, le prototype de la vie organique. Pour faire l'homonculus, il faut donc parfois soit des ovaires, soit d'un œuf isolé des ovaires. Théoriquement, il n'est pas possible de nourrir in vitro des ovaires extirpés et fécondés par voie artificielle. On pourrait même admettre le développement de l'embryon in vitro, ce qui permettrait une observation exacte dans tous les stades de la formation.
Les facultés mentales de cet homonculus seraient primitives (l'absence de l'influence intellectuelle du coté de la mère, ainsi que l'absence des spermatozoïdes provenant du père).
Je finis maintenant ma lettre pour vous la faire parvenir le plus tôt possible
Salutations cordiales de votre B. Paston
Paris le 13 Août 1913

 

Des théories bien audacieuses et qui ont actuellement prouvées que dans ce domaine tout est quasiment possible ou presque et tout l'intérêt de tels échanges provient justement de l'élaboration, mêmes hypothétiques, d'idées aussi avant-gardistes et qui depuis cette période ont effectué d'incroyables avancées. On comprend alors mieux les raisons de la courte nouvelle qui va suivre qui, si elle reste hélas un peu décevante dans sa chute finale, fait preuve d'une certaine ironie qui n'échappera à personne. Elle est peut-être également le signe des limites de la science de l'époque ou de telles hypothèses et divagations ne pouvaient être encore que de belles chimères, trop limité par une médecine balbutiante quand au domaine de la procréation.


En tout cas une histoire d'une belle intensité qui se suffit à elle-même et trouve que dans l'état, pour ceux qui ne possède pas le rare volume paru dans la collection « Les récits mystérieux », vous avez là un condensé du roman, que l'auteur va ensuite délayer afin d'obtenir la matière suffisante pour la publier en volume.


En somme vous avez la chance d'en lire la substantifique moelle car avec tout ce qu'il nous reste à lire, croyez moi, c'est un gain de temps et d'espace...sauf pour les addictes comme moi de cette magnifique collection.
La nouvelle sera signée sous pseudonyme comme il était d'usage à cette époque.

La Survie


Ils me font rire avec leurs expériences, ricana le Professeur,
Et Du doigt il désignait sur la table proche un journal de médecine où étaient décrits les récents essais pratiqués par des chirurgiens français sur des muscles morts, qui greffés sur un corps vivant, après avoir séjourné plusieurs mois dans l'alcool, revivaient exactement comme s'ils venaient d'être prélevés. L'article qui était consacré à cette relation, ajoutait que des reins de mouton et de porc, considérés eux aussi comme morts, avaient, après plusieurs mois, repris normalement leurs fonctions dès qu'ils avaient été appelés à remplacer le même organe dont l'ablation venait d être faite. Hardiment le chroniqueur entrevoyait la possibilité de substituer, un jour, le cœur sain d'un être bien portant à un autre malade ou altéré.


Il terminait en se demandant avec stupeur si la mort n'est pas qu'une apparence et si grâce à une influence encore indéfinie, il ne serait pas possible à une certaine époque de remettre en mouvement cet organisme merveilleux de l'être.


- Eh bien, me demanda le Professeur, quand tout songeur je reposai le journal, que pensez- vous de cette idée?


J'avouais qu'elle me semblait non seulement osée mais parfaitement impraticable, et je m'apprêtais à lui énumérer les raisons de mon doute lorsqu'il me coupa la parole d'un sifflement :


- Imbécile!


Il était tellement exalté que l'injure ne me toucha pas.


j'allais riposter cependant et lui exprimer à tout le moins mon étonnement d'une telle sortie. Mais nerveusement il me saisit le bras et m'obligeant au silence :


- Vous aussi, clama t-il vous croyez à cette stupidité? Vous aussi vous croyez à la mort définitive?


Vous n'avez jamais songé aux crimes que la Catalepsie a fait commettre dans des temps ou chacun croyait reconnaître la mort dans ses symptômes si semblables. Et jamais vous n'avez hésité devant la dépouille funèbre d'un ami, et jamais vous ne vous êtes demandé si ce n'était pas là qu'un engourdissement passager, une suspension de la vie, suspension momentanée que le moindre incident la moindre action d'une force encore imprécise pouvait ranimer?


- Je vous demande pardon, reprit-il en se calmant, cette question m'irrite toujours. Et je suis certain que, comme moi, vous vous passionnerez pour elle qui, pour tous encore - cet article vous le prouve - est un problème, mais est devenue pour moi la plus tangible des réalités.


Je le regardais, incertain d'avoir bien compris.


Le ricanement de tout-à-1'heure effleura ses lèvres un instant. Très calme il se leva et se dirigeant vers une tapisserie que couvrait en partie un panneau :


- Jurez-moi, de ne jamais, à aucun moment, à qui que ce soit, ouvrir la bouche sur ce que vous verrez ici.


Avant soulevé la tenture, il désignait du doigt une porte sans serrure, dont les gonds intérieurs parfaitement dissimulés ne pouvaient laisser soupçonner l'existence.


Je promis.


Il revint s'asseoir près de moi.


Auparavant dit-il laissez-moi vous rappeler combien le sommeil est proche de la mort, et combien le sommeil dit léthargique emprunte a celle-ci toutes ses apparences. Les exemples sont multiples de malheureux enterré vivant malgré les précautions d'usage, prise pour s'assurer de leur mort effective. Beaucoup de mes confrères, et des plus sincères, vous diront que dans certains cas il est a peu près impossible de conclure. Au surplus, il suffirait de vous souvenir
des découvertes effrayantes qu'entraînent fréquemment les travaux de terrassement :


. Il est presque impossible de faire exécuter des fouilles sur l'emplacement d'une ancienne nécropole sans mettre au jour, parmi toutes les tombes éventrées de hideux squelettes contorsionnés, tordus comme dans un effort suprême pour écarter les parois de leur cercueil.


Dites-moi, sont-ce bien la, à votre avis, des morts naturelles? Ou n'est-on pas plutôt en présence de drames horribles qui seraient demeurés à tout jamais inconnus si la pioche du terrassier n'en avait fourni l'épilogue.


Il est impossible que ces préoccupations ne vous aient jamais assailli. Pour ma part, elles m'obsédèrent à ce point que je ne promis de consacrer ma vie à la solution de l'énigme qu'elles représentaient


Vous avez vu il n'y a qu'un instant, le résultat d'expériences de greffe d'organe mort ou plutôt considéré comme tel, sur un être en vie. C'est le principe. Mais il y avait mieux à trouver ; j'y travaillai. Je compris que l'arrêt du cœur quelle qu'en soit la cause, pouvait n'être que momentané; puisqu'un organe essentiel comme le rein pouvait fonctionner après une « mort » de quelques mois, pourquoi songeais-je, le cœur n'en ferait- il pas autant? Toute la difficulté résidait en ceci : le rein - puisque c'est notre exemple- revit grâce à la circulation, quelle est la force régénératrice de cette circulation ? Quelle est «l'âme » ? Il faut remarquer en effet que les philosophes qui ont dénommé « âme » la puissance agissante de notre organisme ont très justement noté - sans l'expliquer toutefois - son association et sa dissociation de ce même organisme.


La grenouille de Volta est le point de départ d'expériences qui, prenant l'électricité comme « âme », ont permis de faire mouvoir les muscles faciaux de nombre guillotinés. Etendre du détail à l'entier le résultat acquis devait n'être que l'œuvre d'une patience suffisante. La mienne fut invincible. Grâce à un système qu'il serait oiseux de vous définir, et dont je tiens d'ailleurs à garder le secret, j'arrivai à obtenir sur le cœur d'animaux récemment décédés des pulsations brèves ; une application de courants alternatifs favorisa la régularité de leur production. J'osai alors m'attaquer a l'homme. J'obtins du cadavre qu'il digérât: ce jour-là je me considérai comme à peu près arrivé au but.


Le Professeur se leva et se dirigea vers la tapisserie.


Dans la pénombre que nous ménageaient les stores épais et bas, sa silhouette me sembla bizarre, son allure saccadée, son geste automatique. A l'entour les objets me parurent affecter des formes étranges, le sang affluait a mes tempes et bourdonnait a mes oreilles. Le fantastique de cette aventure m'étreignait ; ma respiration courte, embarrassée, était sifflante. Je me demandais avec angoisse quel spectre allait surgir de cette porte masquée ? Quelle chose étrange pouvait être, cet homme qui avait été mort, et qui allait venir me parler sans doute.
Mon hôte laissa retomber la tenture qu'il avait- soulevée, puis, se retournant, il revint près de moi, rapprocha sa chaise de mon fauteuil et me dévisageant :


- Je veux vous convaincre mieux , prononça-t-il Vous n'ignorez pas que le dynamisme, le magnétisme ,la télépathie, l'aimantation, la suggestion ne sont que des formes diverses, des applications différentes de cette force première, de fluide encore mal défini bien que déjà appliqué qu'on désigne sous le terme général d'électricité. Je ne vous étonnerai donc qu'à demi en vous disant que j'ai sur mon sujet l'empire la plus absolu. Il vit pour ainsi, dire a l'état de veille, et ce n'est pas là le résultat le moins singulier de mes expériences; il m'est aussi loisible de le plonger dans l'immobilité léthargique que de le faire agir et obéir : il suffît pour cela d'une précision de ma volonté.


Vous m'avez affirmé votre discrétion quoique vous voyez n'est-il pas vrai ?
Je répondis « oui » d'une voix étranglée, la gorge sèche. Je me sentais la langue très épaisse, la salive rare, je haletais positivement.


- C'est bien, dît-il.


Il tendit la main dans la direction de la porte.


L'ombre presque absolue qui nous enveloppait ajoutait à l'horreur de cette scène. Mon cœur battait sourdement ; mes yeux démesurément ouverts fixaient l'endroit par où il allait entrer.


- Le voilà! Souffla le Professeur.


Effectivement deux coups distincts retentirentà la petite porte.

 

Un frisson me parcourt, quoique assis je sentis mes jambes se dérober. La tension de mes yeux désorbités me donnait l'impression qu'on m'écrasait le front, la sueur gouttelait sur mon visage.


La raison chavirée, les tempes meurtries, j'at-ten-dais !


Un autre coup plus sec résonna. Puis, lentement, Sa tenture glissa sur la tringle qui la soutenait, la porte vira sans bruit sur ses gonds.


Un valet correct s'avança, et sur un ton déférent mais qui n'admettait pas de réplique il pria le Professeur de l'accompagner pour prendre sa douche....


En me retirant je remarquai que les fenêtres de l'appartement étaient grillées, que les parois étaient capitonnées, et qu'aucun bistouri, aucun instrument tranchant, pas le moindre petit canif n'était visible.


J'appris par la suite que, malgré tout le désir quelle avait de le conserver près d'elle et les précautions de tout instant dont elle l'entourait dans ce but, la famille du Professeur n'avait pu s'opposer à son internement réclamé par la police a la suite d'une tentative d'assassinat sur la personne d'une femme de service qu'il prétendait ensuite ressusciter.

 

William Thoock

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