Ce nouvel article paru dans la revue « Le petit Robinson » N° 2 (15 Juillet 1924) vient grossir une copieuse thématique entamée il y a fort longtemps sur les pages de ce blog . L'auteur ( anonyme pour le présent article) s'efforce une fois de plus , de nous dresser un tableau assez horrible de ce que pourrait être le cauchemar de l’humanité si les insectes avaient eu les mêmes proportions que les hommes. J'imagine la tête horrifiée des jeunes lecteurs en lisant la façon dont ces charmantes bestioles ont la délicatesse de nous dévorer......En faisant appel à des références scientifiques et en invoquant des auteurs « crédités » comme le Professeur Bouvier,Fabre ou Maurice Maerterlink, l'exposé n'en est que plus authentique et terriblement plausible ! Remercions d'ailleurs les anciens de ne pas avoir doté toute cette faune miniature de plus d'agressivité car il ne fait aucun doute que la masse qu'elle représente ne ferait qu'une bouchée de pain de nos misérables existences si l'idée lui en venait un jour de se rebeller

Au final,si l'on fait le compte de toute l'abondante littérature qui gravite autour de cette passionnante perspective, il est évident que dans la rubrique « La race qui nous supplanta » l'insecte reste notre pire ennemi. Je vous invite donc, comme petite mise en bouche, de lire cet article avant d'aller jeter un œil à celui intitulé « Des insectes et des hommes, petit répertoire des insectes dans l'imaginaire ancien » et si cela ne vous suffit pas, il vous restera ce lui de Henri Coupin « Les monstres minuscules » ( « Je sais tout » N°31 du 15 Août 1907) magnifiquement illustré par René Lelong , ou celui de René Thévenin « Dans le domaine de la terreur » le sixième article sur les neuf consacré à sa rubrique « Voyons nous le monde tel qu 'il est » (Le journal des voyages » N°657 du 31 Mars 1932). Ces deux articles sont consultables dans la rubrique « En feuilletant les revues ».

Cet article vient donc,d'une manière quelque peu catastrophique, conclure cette rubrique « Êtres étranges, enfants du rêve et de la science » et consacrée à quelques articles parus dans la revue « Le petit Robinson » et ce, dans l'attente de nouvelles découvertes qui viendront grossir la somme conséquente de documents pouvant s'apparenter aux merveilleux scientifiques et dont les journaux anciens furent les représentants les abondants et certainement les plus extraordinaires !

Merci à mon ami Savanturier Grégory Hémart de m'avoir procuré le numéro de cet exemplaire

 

Si les petits devenaient grands

 

Vous connaissez tous la charmante fable de La Fontaine, intitulée Le Gland et la Citrouille. Notre grand poète y raconte la mésaventure du jardinier Garo qui, observant les plantes de son jardin, trouve que Dieu a mal fait les choses en accrochant le gland, ce petit fruit, au puissant chêne, tandis qu’il fait supporter l’énorme citrouille par une plante à faillie tige.

Ayant philosophé ainsi, Garo s’endort. Et, pendant qu’il dort, un gland lui tombe sur le nez. Il se réveille en mau­gréant. Et, étanchant sa narine qui saigne, il juge à présent que tout est bien comme il est et qu’il eût été beaucoup plus mal qu’une citrouille se détachât de la branche, à la place du gland !

Lorsque nous observons la nature, ne raisonnons pas comme Garo, avant son sommeil. Et si nous voyons, par exemple, des êtres formidablement organisés pour le combat, le meurtre, le carnage, armés de lances, d’épées, de harpons, de scies, de tenailles, comme jamais les hommes n’en ont imaginé, ne regrettons pas que ces êtres soient, malgré tout, chétifs et faibles, comparés à nous. Que serait-ce, en effet, s’ils grandissaient à notre taille, et que deviendrions-nous, avec nos canons, nos obus et tout notre arsenal guerrier, s’il fallait alors nous défendre contre eux ?

Ces êtres sont, vous l’avez deviné, les insectes, les crustacés, les araignées et les animaux des groupes voisins. Imaginons ce que serait l’Univers si tout à coup ils devenaient aussi gros que des chevaux et des bœufs. Aucun monstre, même les gigantesques reptiles qui hantaient jadis la terre avant l’appari­tion de l’homme, ne pourrait leur être comparé. Et rien ne leur résisterait !

 

Ce que l'homme n’aurait pas inventé.

 

« Voici, dit un de nos plus savants maîtres, M. le professeur Bouvier, du Muséum, voici des animaux qui semblent défier l’imagination par l’étrangeté de leurs formes et l’invraisemblance de leurs mœurs... » « Que- sont les organes dont Wells (1) a pourvu ses tripodes, au regard de ceux, qui servent d’armure ou d’orne­ments à une foule d’articulés : des pinces énormes du Homard et du Crabe, du rostre en long sabre denticulé qui pointe sur le front des crevettes, de l’admirable trocart qui termine l’abdomen des femelles chez les insectes hyménoptères, des cornes extravagantes qui s’élèvent sur la tête et le thorax des scarabées, des multiples épines qui hérissent le corps des araignées gastéraçanthes, des pattes infiniment longues qui donnent aux Myriapodes du genre Scutigère une allure si rapide et un aspect si terrifiant. »

Cela est vrai. Ces animaux ont des formes et des armes si terribles, des mœurs aussi, qu’on ne peut être que frappé d’étonnement en les observant et en les comparant aux grands verté­brés, beaucoup plus perfectionnés qu’eux cependant, à d’autres points de vue.

« L’insecte, dit un autre célèbre écrivain, Maurice Maeterlinck, l’insecte n'ap­partient pas à notre monde... on dirait qu’il vient d’une autre planète, plus monstrueuse, plus énergique, plus insen­sée, plus atroce, plus infernale que la notre... »

Transportons-nous, par la pensée, dans cette planète .infernale et atroce, et donnons-nous le frisson du cauchemar eu entrant eu lutte avec des insectes,. tels qu’ils sont en réalité, mais propor­tionné à nos dimensions.

Ou, si vous préférez, diminuons notre taille à la leur, et tâchons d’éprouver les impressions des êtres qui sont leur proie.

Aux prises avec une Mante.

 

Les Mantes sont des insectes très communs dans le midi de la France, mais que l’on ne trouve plus guère au Nord de la Loire.

Il en existe plusieurs genres dont le type est la Mante religieuse ou Pregadiou des Provençaux. C’est un bel insecte d’un vert clair, long de quelques centi­mètres, présentant de grandes ailes légères comme de la gaze, un long thorax, une tète mobile, chose rare dans le groupe, et surtout de curieuses pattes antérieure, modifiées pour la chasse et bordées de dentelures aiguës qui lui servent à cap­turer ses victimes.

Au repos, l'animal semble inoffensif. Il se tient dans l’attitude bizarre qui lui a fait donner son nom et que les premiers observateurs ont appelée l’attitude de la prière, car en effet, ses pattes de devant sont jointes, son corps penché en avant, sa tête inclinée comme s’il méditait.

Aussi n’est-il pas effrayant au premier abord. Même, il est dépourvu de bien des organes qui, chez d’autres insectes, sont menaçants. Il n’a pas de mandibules en cisailles, pas de dard comme les guêpes., pas de lancette comme les moustiques... Immobile et tranquille dans l’herbe, il ne doit-pas être bien méchant.

Mais voici une proie qui passe à sa portée.

En réalité, c’est quelque criquet, un papillon, une araignée coureuse... Mais n’oublions pas que nous imaginons que c’est quelqu’un de nous, pas plus grand qu’un de ces insectes.

Alors, tout change.

La Mante s’est dressée, comme se­couée par une secousse électrique. Les ailes s’ouvrent et se rejoignent en casque gigantesque sur le dos. L’extrémité infé­rieure du corps s’élève et s’abaisse en se contournant et en faisant entendre un bruit caractéristique. Et, campé sur quatre pattes, l’animal terrible étend en avant les deux antérieures, les ouvre, les referme comme les deux mâchoires d’un piège sur la victime, qui, poignardée par les griffes, éperonnée par les dents de scie, est aussitôt immobilisée.

Toutes proportions gardées, et même si l’on n’observe que l’animal, tel qu’il existe réellement, cette pose d’attaque vous produit une légère émotion. L’ad­mirable observateur des Insectes, J.H. Fabre, qui pourtant a regardé la Mante bien des fois, dit, en décrivant, son atta­que : « ... Je ne peux encore, vieil habitué, me défendre d’une certaine surprise. On a devant soi, à l’improviste, une, sorte d’épouvantail, de diablotin chassé hors de sa boîte par l’élasticité d’un res­sort ».

Si la pauvre sauterelle saisie a des sensations comparables aux nôtres, vous doutez-vous de ce que peut-être son épouvante quand un si effroyable en­nemi surgit devant elle pour la saisir.

Et ce n’est là que le commencement de la fin.

Car, une fois la victime capturée, le monstre la dévore. Il ne se nourrit en effet et que de chair et, contrairement à beaucoup d'orthoptères, groupe dont il fait partie, ne mange jamais de végétaux.

Alors, nous qui sommes là, pantelants entre ses pattes, nous sentons ses affreuses mâchoires nous happer la nuque. L’un de ses bras dentelés nous étreint, l'autre nous appuie sur la tête pour dégager le cou. Une horrible plaie met à nu le cerveau, que la Mante broie lentement, pour détruire la résistance nerveuse. Les soubresauts de la victime s’apaisent,elle vit encore, mais ne se défend plus.

La Mante, tranquillement, peut la dévorer tout entière. Le corps du gibier, presque aussi gros que celui de l'horrible chasseresse, est totalement englouti !

Tel est le destin du Criquet ou du scarabée happé par la Mante. Tel serait notre destin, si, comme le représente notre illustration de première page, la Mante était aussi grosse que nous !

Et combien de nous seraient ses vic­times ? Car c’est une insatiable mangeuse! Si vorace, que quand on la met avec ses pareilles en cages, elles se dévorent entre elles ! Poussées par la faim ? demandera- t-on. Non pas. Par goût ! Même quand il y a, à portée, d’autres nourritures !

- Ah ! les féroces bêtes ! dit encore Fabre. On dit que les loups ne se mangent pas entre-eux. La Mante n’a pas ce scru­pule. Elle fait régal de sa pareille quand abonde autour d’elle son gibier favori, le Criquet. Elle a l’équivalent de l’an­thropophagie, cet épouvantable travers de l’homme. »

 

Ou fuir ?

 

Où allons-nous nous réfugier, pour échapper à de si effroyables ennemis ? Si rapide que soit notre course, ou les engins que nous avons inventés pour aller plus vite, ne serons-nous pas rat­trapés ? Que faire, pour lutter de vitesse, avec les grandes pattes des Carabes, avec les bonds vertigineux de la Sauterelle, aussi féroce, dans son genre, que la Mante, et qui, elle, dévore les entrailles de ses victimes ;

Nous sauverons-nous dans les airs, sur nos aéroplanes ? Mais qu’est-ce que la puissance d’un avion, comparé au vol foudroyant de cer­tains insectes. Vous avez vu de grosses mouches traverser une chambre en plein élan, et se heurter à une vitre qu’elles n’ont pas devinée. Leur petit .corps mou y produit le choc d’une balle. Si au lieu de quelques centigrammes, il pesait quelques dizaines de kilos, un tel projectile renverserait un mur !

Cependant, éperdus de terreur, nous avons mis notre hélice en marche et nous nous élançons au-dessus des nuages... Sommes-nous sauvés ?

Mais quelque chose ronfle. derrière nous. Cela fait plus de bruit que le plus puissant de nos mo­teurs. C’est un gronde­ment qui remplit l’espace,roule comme un tonnerre, vibre comme si quelque gigantesque météore traversait les hautes régions de l’éther. Cela grandit, s’élargit bourdonne avec une telle intensité que nous éprou­vons dans tout le corps une trépidation pareille à celle que produit la machine d’un torpilleur en pleine marche...

Et cela s’approche. Nous nous retour­nons...

Horreur ! Qu’est cela qui vient, tout noir, ses élytres ouvertes comme des boucliers blindés de pièce d’artillerie, ses ailes si rapidement agitées qu’on ne les devine que comme un brouillard bleu, et ses grandes pinces menaçantes ouvertes comme des te­nailles d’acier ?

 

C’est un scarabée, du genre Lucane, ce que nous appelons cerf-volant ! il va nous saisir, nous couper en deux !...

Non! nous avons échappé, cette fois !Les cisailles menaçantes ne sont que des ornements.Elles ne servent pas à la prise...

N’importe ! Il nous faut fuir d’ici. Nous pourrions faire d’autres rencontres encore plus dangereuses.

Où aller ? Au sein des eaux, peut-être ? C’est ce que font les ours quand, gourmands du miel des ruches, ils sont poursuivis par les abeilles. Imitons-les, Plongeons !...

Au secours ! De grands scarabées verdâtres se sont jetés sur nous ! Ce sont des Népes . Elles aussi, ont des sortes de pinces. Mais, cette fois, ce sont des pattes, armées de crochets venimeux qui vont nous saisir, nous poignarder,inoculer, dans les plaies affreuses qu'elles nous feront, un poison mortel !

Nous avons pu fuir à temps. Nous voici revenu à terre. La nuit tombe. Les insectes dorment, pendant la nuit, pour la plupart... Il y a bien les gros papillons nocturnes qui rôdent, silencieux et gri­sâtres, pareils à d’énormes hiboux. Mais ils sont plus effrayants que dangereux. Il ne nous feront pas de mal.

Voici l’aube. La fraîcheur de l’air est grande. Rien à craindre à cette heure-ci. Sortons de notre retraite et avançons prudemment...

Cette fois, nous sommes perdus ! Nous sommes tombés dans un piège, un piège terrible, perfectionné, plus ingénieux que tous ceux que les hommes ont jamais inventé.

Il ne s’agit plus ici de l’œuvre d’un insecte, mais d’une araignée. C’est sa toile Comment se fait-il que nous ne puissions nous en délivrer ? Pour­quoi nous retient-elle, puis qu’aucun lien ne s’enroule encore, autour de notre corps ?

C’est que cette toile a été composée de la façon que voici :

L’araignée a d’abord disposé, en forme de polygone, des fils d’une sorte de « soie » sèche, qui servent à former l’armature du piège. Mais, sur ces fils, elle en a ensuite enroulé d’autres, d’une matière spéciale, gluante, à laquelle les proies se collent sans pouvoir s’en débarrasser. C’est cela qui nous a capturés.

En nous débattant, nous imprimons des secousses aux fils secs, qui jouent le rôle d’une espèce de câble télégraphique en allant avertir l’araignée, cachée dans quelque trou ou quelque repli de feuille, que quelque chose se passe dans son tra­quenard.

La voici, en effet, qui accourt. Ses huit horribles pattes s’accrochent aux échelons de l’échelle de soie et descendent vers nous !

Comme nous nous débattons toujours désespérément, nous allons peut-être pouvoir nous arracher à l’étreinte vis­queuse des fils... Mais l’araignée nous a saisi. De son abdomen, sortent des nouveaux fils de soie qui nous entortillent nous ligotent, nous immobilisent dans une sorte de maillot où tout notre corps est enfermé. Et l’affreuse bête, nous ouvrant la gorge, y fait pénétrer une manière de sonde, à l’aide de laquelle elle va puiser les liquides de notre chair pour en emplir son jabot !

 

Un assassinat scientifique

 

Une intervention miraculeuse nous a sauvé. Meurtri, sanglant, mais vivant encore, nous nous échappons.

Où nous réfugier cette fois ? L’eau, le sol, l’air sont pleins d’ennemis. Si nous essayions de nous cacher sous terre dans quelque caverne ?

En voici une. Elle est admirablement faite pour nous servir d’abri. Le sol est chaud et sec, à l’écart des pluies. Une lame de grès forme corniche. Un vestibule permet l'accès dans la galerie. Et il y a au fond, une chambre, grande, en réalité, comme une grosse noix, mais où nous pouvons donc parfaitement entrer en rêve.

Hélas ! Nous n’avions pas pensé que cette retraite était l’œuvre d’un habile ouvrier, d’un insecte de l’ordre des Hyménoptères, dont font partie les abeilles, les guêpes, etc...

Celui qui a bâti ceci est un Cerceris. Est-ce pour s’y loger lui-même ? Nous allons l’apprendre à nos dépens.

Comme nous errions aux alentours de la caverne, il s’est jeté sur nous, nous prenant sans doute pour un des charençons dont il fait ordinairement sa proie.

Va-t-il nous dévorer ? Non. Ce n’est pas, pour satisfaire son appétit qu’il nous capture. C’est pour nous mettre au garde-manger, dans sa caverne ! Nous sommes destiné en effet à servir de nourriture à la larve qui naîtra de l’œuf qu’il, va pondre à côté de nous.

Mais alors, nous sommes sauvé, peut- être ? Comme cette larve ne mange que des proies vivantes, le Cerceris ne nous tueras donc pas.Et quand le faible animal naîtra, sans armes, sans défense, nous saurons bien en venir à bout !

Mais l’insecte est plus malin que nous. Il va faire de nous une sorte de mort-

vivant, c’est-à-dire, un corps dont les organes continueront de fonctionner, que la décomposition cadavérique n’at­teindra pas, mais qui ne pourra plus bouger !

Par quels moyens y arrivera-t-il ? Par les moyens les plus scientifiques, ceux que nos plus habiles chirurgiens n’oseraient pas tenter.

Voyez, ! Il nous a terrassé, et il a dégainé son aiguillon.

Alors, il courbe sur nous cette armes, et cherche la place où il va frapper. Il faut qu’il atteigne, non une partie vitale, mais un centre nerveux commandants les mouvements du corps et qui, blessé, les paralysera... C’est ce que font nos chirurgiens quand ils injectent de la cocaïne dans la moelle épinière de la personne qu’ils veulent opérer sans l’en­dormir. Elle garde sa conscience, mais ses membres ne bougent plus et elle ne sent plus rien.

Ainsi fait l’insecte avec sa victime.

Toujours, il sait reconnaître la place exacte. Quand il l’a trouvée, il enfonce, d’un coup, son arme, injecte son poison, comme avec l’aiguille creuse d’une seringue chirurgicale. La blessure est légère, le poison peu actif. Mais ce sont les ressorts même du mouvement qui ont été touchés. La proie s’endort dans un sommeil insensible. Elle vivra assez longtemps dans cet état pour laisser à la larve le temps de la dévorer peu à peu, toute vivante...

Quand cette larve sera devenue à son tour insecte ailé, la victime pourra mourir !

Telles sont les mœurs tragiques de certains insectes, pris au hasard parmi beaucoup d’autres, aussi extraordinaires.

N’avions-nous pas raison de dire que le monde deviendrait un univers de cau­chemar et d’épouvante sans nom, si les petits insectes, tout en gardant leurs habitudes et leurs instincts, devenaient aussi grands que nous ?

 

(1) Wells, romancier anglais, a imaginé dans sa Guerre des Mondes, les tripodes, êtres fantas­tiques et effroyables tombés de la planète Mars sur la terre pour la conquérir.

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