Major Carl Bell allias "Gustave Le Rouge" : "Le spectre mortel"

Curieuse nouvelle que celle qui paru dans le « Globe Trotter » du Jeudi 14 Novembre 1907 et faisant l'objet de la superbe illustration de couverture. Je dois dire qu'à lui seul le dessin nous plonge dans une atmosphère bougrement fantastique et l'on se demande qui peut bien être ce redoutable spectre au contact si électriquement mortel Ce conte signé Major Carl Bell et qui s'intitule « Le Spectre Mortel » ressemble à si méprendre à un résumé du premier fascicule de l'extraordinaire saga de Gustave Le Rouge « Le mystérieux Docteur Cornélius » et intitulé « l'énigme du Creek sanglant ». Petit Rappel des faits:


« A Jorgell city, ville fondée par des milliardaires Américains, une série de meurtres insolite frappe certaines personnes dont on vole de fortes sommes d'argent. Décidant de mettre fin à cette série d'assassinats monstrueux, Harry Dorgan et Fred Jorgell, élaborent un piége afin de prendre ce singulier criminel. Un indice les mettra sur la voie car un vieil indien leur signale que chaque meurtre s'accompagne d'une coupure de courant. Ils parviendront finalement à capturer le coupable du nom de Baruch, le propre frère de Jorgell. Celui-ci tuait ses victimes au moyen d'un instrument utilisant l'électricité sous tension.
Dans cette aventure apparaîtra pour la première fois le Docteur Cornélius Kramm surnommé « Le sculpteur de chair humaine »


Comme vous allez pouvoir en juger avec la mise en ligne de ce « Spectre Mortel », la ressemblance entre les deux textes est frappante avec cependant un petit avantage pour le « spectre mortel » qui est plus ancien de cinq années, puisque « l'énigme du Creek Sanglant » ne paru qu'en 1912. Il semblerait que nous ayons dans ce numéro du « Globe Trotter » la première mouture d'une série qui reste la plus célèbre de Gustave Le Rouge et que le diabolique Docteur Karl Kramm ressuscitera pour donner naissance à un nouveau prince du crime : le Docteur « Cornélius Kramm » allias le « Sculpteur de chair humaine ». Personnages identiques, nom de la ville similaire, trop de coïncidences pour que cela soit le fait du simple « hasard »Voilà un curieux pseudonyme à attribuer à notre cher Gustave Le Rouge

« Le spectre Mortel »  


Un groupe de capitalistes yankees avait dé­cidé la création d'une ville à Jorgell-Creek, en pleine prairie, au pied des Montagnes Ro­cheuses : un mois ne s'était pas écoulé que la nouvelle cité, encore sans maisons, était déjà reliée par trois lignes au réseau ferré de l'U­nion.
Paul Martini, un jeune ingénieur venu de France, avait été chargé d'une gigantesque installation d'électricité.
Tout de suite, le courant du Creek actionna une usine d'énergie électrique. La ville eut de la lumière avant d'avoir des habitants.
En dehors de ses travaux absorbants, Paul prenait plaisir à passer ses soirées chez un architecte yankee dont le hasard avait fait son voisin.
Jonas Frickwell, veuf depuis deux ans, était père d'une charmante jeune fille blonde et menue, distinguée et gracieuse comme savent l'être les Américaines quand elles se mêlent d'être jolies. Là-bas, tout va vite.
Au bout d'une semaine, Paul et Annabel étaient bons camarades; au bout de quinze jours ils étaient fiancés ; le mariage devait avoir lieu à la fin du mois.
Un ami de la maison, le docteur Karl Kramm paraissait prendre un vif intérêt à cette idylle. Généralement grognon, un peu misanthrope même, il réservait toute sa bonne humeur pour le jeune couple qu'il comblait de cadeaux et d'attentions.

 

Le premier crime


Le mariage devait avoir lieu dans trois jours, lorsque le malheureux Frickwell fut assassiné : il était allé à la succursale provi­soire de la Banque retirer la liasse de banknotes qui devaient constituer la dote d'Anna- bel ; les fiancés attendaient vainement son retour.
Au petit jour on rapporta son cadavre, que des forgerons avaient trouvé près du Creek, son portefeuille avait disparu ; mais chose étrange, bien que le visage fût atrocement convulsé, le corps ne portait aucune trace de blessure.
L'autopsie effectuée par trois médecins, sous la présidence du docteur Karl Kramm, n'a­mena la découverte d'aucune lésion interne ou externe.
Annabel était ruinée ; tristement elle déclara à Paul qu'elle ne pouvait se marier.
— Je suis sans fortune, dit-elle, il n'est qu'honnête de ma part de vous rendre votre liberté.
Paul se retira la mort dans l'âme, mais il s'était juré à lui-même de n'avoir d'autre femme qu'Annabel.

 

Mystérieux inconnu


Cependant, il semblait que la mort du brave Jonas eût été le prélude d'une série de crimes effroyables et mystérieux. Chaque matin on relevait des cadavres toujours dépouillés de leur argent ; mais sans qu'aucun d'eux portât trace de violence.
On parlait de maléfices diaboliques. Un Canadien affirmait avoir vu un soir un passant poignardé par un squelette qui lui avait enfoncé un fer rouge dans le cœur.
Ces événements donnèrent beaucoup à réfléchir à Paul Martin.
Il n'était pour son compte nullement supers­titieux ; il devina que les meurtres qui épou­vantaient les constructeurs de la ville n'étaient dus qu'à un criminel habile, savant même, et bien informé, puisqu'il choisissait toujours ses victimes parmi les gens riches.
Paul se jura de découvrir l'artiste ès-crimes et de venger le père d'Annabel
Il allait, de découragement, renoncer à sa poursuite, lorsqu'un des ouvriers électriciens lui fit part d'une découverte singulière.
Certaines nuits, l'éclairage électrique des chantiers, en dépit du bon fonctionnement des appareils, pâlissait et menaçait de s'éteindre. Une fois même, une seule fois, les riveurs de boulons qui parachevaient la carcasse d'un quinzième étage, furent plongés dans l'obs­curité et faillirent être précipités dans le vide.
Paul était sûr que les machines ne présen­taient aucune défectuosité ; alors comment expliquer les interruptions ?
A force de réfléchir, il commença à discer­ner quelques vagues lueurs dans ce ténébreux mystère; chaque fois que la lumière ou l'éner­gie s'étaient affaiblies pendant la nuit, un crime avait été commis. Il y avait corrélation entre les deux faits.
« Il est certain, se dit Paul, que l'on assas­sine les gens, qu'on les électrocute plutôt ; il ne s'agit que de savoir comment : cela je le saurai ! »

 

Le justicier


Dès lors il annonça à tout son entourage qu'il était gravement malade. Ostensiblement, devant ses noirs et sa gouvernante, il se cou­chait de bonne heure, toussait et se plaignait ; mais dès que tout le monde était endormi, il s'habillait, s'armait et s'aventurait dans les décombres et les terrains vagues.
Il se cachait derrière les tas de charbon, à l'abri des piles de solives d'acier; mais il ne découvrait toujours rien : il rentrait à l'aube furieux, exténué, couvert de boue jusqu'aux épaules, sans avoir vu autre chose que de banales querelles d'ivrognes.
Et, comme pour le narguer, presque régu­lièrement à la suite de ces escapades, son chef d'équipe venait lui annoncer une interruption de courant. Il était sûr ensuite de n'avoir qu'à ouvrir la feuille locale, imprimée sous un han­gar de carton goudronné par d'audacieux reporters, pour y lire le récit d'un nouveau crime.
Enfin sa patience fut récompensée. Une nuit qu'il s'était caché dans un vieux wagon oublié sur ses rails pourris de rouille au milieu d'un enclos, à quelques pas de l'unique pas­serelle qui traversait le Jorgell-Creek, il assista à un terrible spectacle.
Un homme s'avançait en titubant légère­ment, comme pris de boisson ; il portait un portefeuille de maroquin rouge. Paul recon­nut un des inspecteurs du syndicat un des personnages importants de la nouvelle ville.
Une ombre s'élança soudain d'une encoi­gnure, une ombre pareille à l'image même de la mort, avec une face hideuse et décharnée et un crâne poli. Un éclair bleu jaillit de la main du spectre, l'homme roula à terre fou­droyé, fut dextrement dépouillé, puis tout rentra dans le silence.
Paul avait maintenant tout compris ; il prit ses dispositions en conséquence.
Il arriva de bonne heure au cercle, porteur lui aussi d'un gros portefeuille de maroquin ; et il annonça joyeusement qu'il venait de recevoir de son banquier de Paris une jolie liasse de banknotes. Il but quelques coupes de Champagne, perdit au jeu quelque argent, enfin se montra d'une loquacité inaccoutumée.
— Le pauvre Frenchman cherche à s'étour­dir, murmura le docteur Karl avec une bien­veillance bourrue ; depuis la rupture de son mariage, il n'est plus le même.
Quand Paul se retira, il titubait légèrement ; mais l'ivrognerie est en Amérique un vice presque national ; personne ne songea à s'of­fusquer de l'incorrecte tenue du jeune homme.
Une fois dehors, Paul sans cesser de simuler la démarche extravagante d'un homme pris de boisson, se dirigea lentement vers la pas­serelle du Creek.
A sa grande satisfaction il s'aperçut bien­tôt qu'il était suivi.
Cependant, à la faveur de certains angles sombres, Paul s'efforçant de n'être pas aperçu de l'inconnu qui le filait, procéda à une toi­lette spéciale. De sa volumineuse serviette, qui d'ailleurs ne contenait pas la moindre banknote, il tira successivement des gants de métal treillissé, une sorte de casque dont il se coiffa après l'avoir agrafé à une tunique de mailles métalliques qu'il portait sous son « over coat ».
Bien lui en prit d'avoir revêtu cette espèce de cuirasse.
Au moment où il arrivait près du pont, un homme se jeta sur lui, brandissant une sorte de massue et lui porta au défaut de l'épaule, un coup violent, heureusement amorti par la cuirasse : au même instant Paul se trouva entouré d'une véritable auréole de lumière électrique. On eût dit saint Georges ou quel­que archange terrassant le dragon, tel qu on le voit dans les anciennes peintures.
A la lueur du nimbe électrique dont il était entouré, Paul reconnut le docteur Karl Kramm.
Avant que Paul fût revenu de sa surprise, son adversaire s'était rué sur lui : la lutte fut courte.
Paul fit rouler à terre son ennemi d'un coup de pied dans l'estomac. Le docteur ne donnait plus signe de vie, Paul crut la lutte finie et* respira longuement ; il épancha le sang qui cou­lait d'une blessure au bras, et pendant quelques secondes il se reposa sur un tas de pierres.
Cet instant de faiblesse lui fut fatal ; le docteur n'avait pas été aussi grièvement frappé que Paul l'avait cru ; il avait réussi à s'empa­rer du revolver qui, de la poche de son adver­saire, avait glissé dans l'herbe.
Au moment où Paul essayait de délacer son casque pour respirer un peu, le docteur se rua sur lui et lui appuya le revolver contre la tempe : la vie du jeune ingénieur ne tint en cette seconde suprême qu'à quelques graviers qui s'étaient glissés dans le ressort de la gâ­chette lorsque l'arme était tombée dans la boue.
Nerveusement le docteur fit fonctionner le ressort ; Paul comprit qu'il allait mourir, que son nom allait s'ajouter à la liste des victimes de l'assassin mystérieux.
Mais tout à coup, ses doigts palpitants ren­contrèrent dans l'herbe un cylindre de verre.
— L'isolateur ! bégaya-t-il d'une voix rauque.
Et d'un geste instinctif il saisit le cylindre et le porta au visage de son ennemi ; une petite lueur jaillit, le docteur s'écroula sur son adversaire, foudroyé, mort de la même mort dont il avait fait périr tant de victimes.
Après des efforts inouïs, Paul parvint à se dégager du cadavre qui l'oppressait ; et il constata que le manchon de verre qu'il n'avait pas lâché, était relié par un fil aux gros câbles électriques qui alimentaient de lumière et d'énergie toute la ville.
Gomme il l'avait deviné, le docteur fou­droyait ses victimes.
En France, on aurait d'abord constat r l'identité du cadavre ; en Amérique, on est plus pratique ; les magistrats commencèrent par perquisitionner au domicile du docteur. Dans un méchant coffre-fort encastré dans le mur, on trouva pour plus de trois millions iè dollars; et chose curieuse, l'assassin avait éti­queté chaque valeur du nom de sa victime ; c'est ainsi que Paul put lire sur une grosse liasse de banknotes : « Jonas Frickwell, 17 décembre »
Paul Marin s'es: marié et il est en passe de devenir un de ces rois de la matière industrielle que la vieille Europe envie au nouveau monde.


Major Carl Bell

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