La genèse du « justicier » remonte à l'époque où de nombreux écrivains comme Féval,Alexandre Dumas, Xavier de Montepin, Eugéne Sue, Frédérix Soulié, Zévaco....créèrent un concept littéraire tout à fait innovent qui avait l'art de rassembler des genres aussi variés que le roman de mœurs, le roman sentimental,social, exotique. Mais ce qui le caractérisait le plus, c'était son coté sensationnel, qui foisonnait de situations imprévues, de rebondissements incroyables, souvent baigné dans des contrées exotiques et mystérieuses.
Curieusement, ce qui fascinait le plus le lecteur, et qui le fascine toujours autant, c'est la galerie de types louches, de malfrats, de confréries diaboliques, de génies du mal que l'on peut rencontrer dans ce genre d'ouvrages.
Les exemples dans ce domaine sont légions et si l'on fait l'inventaire des trognes patibulaires, il faut reconnaître que nos romanciers firent pencher la balance plutôt du mauvais coté
Afin que l'équilibre soit parfait, car de nature l'homme doit être « bon », il était nécessaire d'y inclure l'autre face ce redoutable « coté obscur », un personnage à qui tout le monde pourrait s'identifier, un sauveur qui n'hésiterait pas à défendre la veuve et l'orphelin et mettre sa vie en danger pour sauver les valeurs fondamentales de l'humanité : Le héros !
Il faut dire que ce dernier ne manque pas de panache, aristocrate, reporter ou jeune sportif le jour, dés que tombe la nuit il revêt une tout autre apparence. Affublé d'un simple loup sur le visage ou d'une inquiétante cagoule,d'un chapeau à large bord ou d'une immense cape noire doublée a l'intérieur d'un rouge des plus vif, il sillonne la ville, investi d'une mission vengeresse des plus impitoyable.
Souvent aidé par de petits gadgets, résultats des progrès scientifiques de son époque, il est rare que ce singulier personnage soit doté de pouvoirs surhumains. Les moyens qu'il utilisera pour arriver à ses fins, seront toujours à l'échelle humaine et ne dépasseront que rarement le cadre de sa simple force physique ou de son agilité.
Le « super héros » sera dans la littérature d'imagination scientifique souvent un simple justicier, un détective aux pouvoirs d'investigations exceptionnels, ou un savant génial dont les inventions seront mise au service d'une justice visant à contrecarrer les agissements de quelques sociétés secrètes ou autres génies du mal.
Pour voir naître ce « super héros » au « super pouvoir » il fallait une vision toute neuve du héros et du justicier. Notre littérature était trop « dépendante » d'une certaine tradition et d'un courant populaire, certes très inspiré, mais tributaire des contraintes d'une tradition romanesque bien en place.
Pas ou peu de récurrences, à l'image du thème du « Savant fou ».Ce thème fort peu abordé sous l'aspect que nous lui connaissons actuellement, ne sera traité que de façon anecdotique, dans une littérature pourtant fort généreuse en ce qui concerne les inventions extraordinaires, les surhommes, les voyages dans l'espace, les invasions extra-terrestres, j'en passe et des meilleures.
La littérature dite de « genre » d'avant guerre n'est pas très généreuse en ce qui concerne les « gentils » et sera par contre beaucoup plus à son aise pour camper des figures maléfiques et tournées vers le mal .
« Zigomar » de Léon Sazie, « Les vampires » de Meirs et Feuillade, « Fantômas » de Souvestre et Allain, « Férocias » et « Fatala » de Marcel Allain, « Démonax » de Robert Lortac « Fantax » le héros BD de Pierre Mouchotte, « Mme Atomos » de André Caroff, « L'ombre Jaune » de Henri Vernes autant de méchants qui participent à la consécration d'un genre qui continue encore de nos jours à rassembler de farouches partisans.
De l'autre coté du miroir, nous avons fort heureusement toute une kyrielle de héros, qui bien que tourmentés par des origines parfois douloureuses, se consacrent à véhiculer une image plus positive du vengeur masqué : « Judex » toujours de l'infatigable Feuillade, « Chantecoq » d'Arthur Bernéde, Léo Saint-Clair dit le « Nyctalope » de Jean de La Hire
Ce Nyctalope nous allons le retrouver à l'honneur dans cette merveilleuse et indispensable anthologie « La nuit du Nyctalope » aux éditions « Rivière Blanche ». Saluons dés à présent cette excellente initiative et ce formidable travail de réhabilitation de la part de ce dynamique éditeur qui depuis quelques années ne cesse d'enrichir nos bibliothèques de précieux ouvrages tout en asséchant notre porte monnaie...Le célèbre Héros de Jean de la Hire avait d'ailleurs fait l'objet de toutes les attentions de cet éditeur en publiant en 2011 un recueil de l'indispensable « Compagnons de l'ombre N° 8 » et dans lequel il est possible de retrouver pas moins de sept nouvelles relatant les exploits de Léo Saint-Clair
L'ouvrage en main, cette « Nuit du Nyctalope » est déjà en soi l'assurance de l'acquisition d'un fort beau volume, agrémenté d'une magnifique illustration de Ladrönn, en parfaite adéquation avec le contenu de l'ouvrage surmonté d'un titre des plus explicites « La nuit du Nyctalope » comme pour vouloir mettre l'accent sur une des extraordinaires caractéristiques de ce Héros Français qui possède en effet le don de voir dans les ténèbres. Mais un titre également à double sens, puisqu'il pourra être interprété en quelque sorte comme un chant du signe, un ultime baroud d'honneur avant de plonger dans les épaisses ténèbres non pas de la nuit mais de l'oubli. Car à l'image de bien des héros de notre littérature, les exploits de ces personnages populaires sont condamnés à un funeste destin : Celui de l'indifférence totale ! Une nuit enfin qui sera personnifiée par l'aspect tragique de certaines des aventures du recueil, car chers amis lecteurs, vous assisterez non seulement à la déchéance du personnage suspecté de certaines accointances avec l'envahisseur nazi, mais également à sa mort pure et simple...enfin techniquement du moins.
Mais qui est le Nyctalope ? Afin de répondre à cette question fondamentale, je ne peux que vous conseiller de vous référer à l'inestimable « Nyctalope, l'univers extravagant de Jean de le Hire » de Emmanuel Gorlier. Une étude colossale et faisant référence en la matière, écrite par une passionné , un vrai, un esprit curieux doublé d'un amoureux de ces littératures populaires qui nous fascinent tant.
Je ne voudrais toutefois pas laisser nos lecteurs qui ne connaissent pas le personnage, dans une attente angoissante, en leur révélant que les origines de ce « super héros (car il possède certains pouvoirs) nous sont révélées dans une de ses aventures « L'assassinat du Nyctalope » paru initialement à la Renaissance du livre collection « Le disque rouge » 1933 et malheureusement jamais réédité en France.
Dans ce roman, Léo Saint-Clair poursuit l'infâme Sadi Khan qui a dérobé les plans d'une invention du père du Nyctalope. Cette merveilleuse technique du nom de « Radian Z » est révolutionnaire. Il s'agit d'un capto-projecteur d'ondes électromagnétiques, capable d'attirer et, pour ainsi dire, d'emmagasiner les ondes de la T.S.F, de les libérer ensuite, authentiques ou falsifiées. Résultat : maîtrise absolue de toutes les communications par T.S.F. du monde entier, par un contrôle permanent pouvant s'aggraver de censure, de transformation, de retardement et même de suppression. Après avoir blessé l'infortuné savant, Léo St Clair se lance sur les traces du brigand avec l'aide de quelques amis. C'est au cour d'un attentat fomenté par un groupe de Bolchevique qu'il sera ainsi blessé à la tête .Lors de sa convalescence pensant qu'il allait être aveugle,c'est le Docteur de Villiers-Pagan qui va découvrir alors sa formidable faculté. C'est ce même chirurgien qui à la fin de l'aventure, va opérer le Nyctalope d'une complexe opération du cœur avoir reçu une lame fatale dans le précieux organe. L'opération est un succès, ainsi notre héros sera la première créature vivante à recevoir un coeur artificiel, organe mécanique lui conférant une durée de vie bien supérieure au commun des mortels
Un personnage qui plus est doublé d'un athlète confirmé adepte des arts martiaux, fin tireur, maîtrise plusieurs langues et dialectes, est capable de piloter tous les engins existants sur terre dans les airs sur, sous la mer, expert en sciences occultes il possède également quelques dons pour l'hypnotisme. En somme le prototype idéal d'une façon de « surhomme »
Une tel individu ne pouvait qu'enflammer les imaginations les plus débordantes et quoi de plus naturel que de lui rendre hommage au travers de ces quelques douze nouvelles afin de continuer un cycle comportant près d'une vingtaine de romans, plus même si l'on considère que certaines aventures ou cycle se déroulent sur deux volumes, ainsi que de deux nouvelles.
L'éditeur du présent volume a eu l'excellente idée de rééditer un court roman intitulé « Rien qu'une nuit ». Rare petit fascicule, connu des seuls initiés, quasiment impossible à trouver et qui fut édité dans la collection du Cyclope « Amour, Voyages, Aventure, Mystère, Police, Exotisme » en 1944 : Tout un programme .Histoire assez conventionnelle se déroulant pendant la seconde guerre mondiale ou le Nyctalope va affronter un adepte des sciences occultes. Comme le précise Emmanuel Gorlier, c'est au détour de cette longue nouvelle que l'on apprend que notre héros possède des « Ausweis » ne pouvant être obtenus que par une certaine collaboration avec l'occupant Allemand. Les rapports qu'entretenait Jean de le Hire avec les forces d'occupation furent des plus troubles, ceci expliquant cela.
Viendront ensuite des nouvelles de différentes longueurs où les auteurs vont entretenir dans la grande majorité une tradition si chère à la mythique série des « Compagnons de l'ombre » à savoir les rencontres successives de différents héros de la littérature populaire. IL vous sera ainsi possible de croiser la route de lord Greystoke, Judex, To-Ho, Zigomar, James Bond, Belphegor, Steve Costigna, Jules de Grandin, Martin Mystére...autant de héros chers à notre cœur et que les écrivains ressuscitent pour notre plus grand plaisir.
Toutes les nouvelles sont d'excellentes factures même si ma préférence se porte sur deux ou trois auteurs. D'autant pourront taxer mon manque d'objectivité en raison de certains liens entretenus avec quelques uns d'entre eux, mais force est de constater que leur plume inspirée reste toujours un réel plaisir à parcourir. Ainsi dans la nouvelle de Robert Darvel « L'homme au cœur double » se passant dans un région mystérieuse de l'Afrique est à mon avis beaucoup plus inspirée que celle deMathew Dennion « Territoire interdit » qui souffre probablement d'un problème de traduction et qui plus est, et j'en suis le premier étonné, truffé de nombreuses coquilles. Le texte de Robert est beaucoup plus dynamique et composé des ressorts de la littérature populaire qui donnent un véritable rythme au difficile exercice de la nouvelle. En outre cette idée de la fausse vraie mort du Nyctalope est assez audacieuse et originale. Même avis favorable pour « Du sang et des Armes » de Julien Heylbroeck. Un auteur que j'admire énormément pour son style vif, concis et fluide. La nouvelle possède un véritable rythme où la magie et la thématique des sociétés secrètes viennent enrichir d'une intelligente façon une ambiance qu'il nous est possible de ressentir dans l'univers de Jean de la Hire, expurgé toutefois de certaines lourdeurs. Normal me direz vous en raison de la longueur du texte, mais justement c'est la raison pour laquelle chaque mot à son importance et c'est toujours un nectar que l'on déguste avec plaisir. Si vous désirez vous faire une haute opiniom de julien en matiére d'écriture ( mais toute son oeuvre en témoigne), jetez donc un œil sur la nouvelle parue dans « Les compagnons de l'ombre N° 8 » et intitulée « L'heure du squale ». Un texte fameux,où il nous fait rencontrer non pas le Nyctalope, mais un autre « Héros » de Jean de la Hire « L'hyctaner », un homme transformé en amphibien par Oxus, un savant déjanté. Cette nouvelle ravira les inconditionnels de Lovecraft. Un mix étonnant unissant deux univers absolument passionnants : Respect !
J'ai également de nouveau apprécié avec plaisir le talent de conteur de Emmanuel Gorlier qui se livre à cet exercice avec brio et dois avouer que « Un cadeau pour Hitler » n'est pas loin d'être une de mes préférées avec cette quête légendaire de Hitler pour les objets mythologiques et occultes, bien que j'affectionne tout particulièrement une pointe de nostalgie dans la voix « Madison Square Garden » ou il rend un vibrant hommage à « Two Bob Gun Howard » avec Un Steve Costignan plus vif que jamais et dont le partenaire n'est autre que...Marcel Cerdan ! Une explication des plus incroyables sur sa tragique fin vous sera ainsi dévoilée. Chers amis, lisez son étude sur « Le Nyctalope » chez « Rivière Blanche », au risque de me répéter...un régal ! Dans « La justice et la force », Chris Nigro nous plonge dans une aventure où Léo Saint-Clair se trouve dans la tourmente et les atrocités de la première mondiale, faisant équipe pour la circonstance avec Judex. Nouvelle faisant suite à l'épopée Martienne de La Hire et dont nous avons découvert d'autres extensions dans le recueil « Les compagnons de l'ombre N°8 » et consacré exclusivement à ce héros de la littérature populaire Française (« Les enfants d'Hercule » de Roman Leary et « Les chasseurs de Mars » de Matthew Dennion ). Cette fascinante thématique de Jean de la Hire au sujet de la colonisation de Mars par des terriens sera également l'objet d'une intéressante nouvelle de Jean Marc Lofficier « Les ides de Mars » où cette fois le Nyctalope avec la complicité de Martin Mystère se lance à la poursuite de trois esprits martiens « infiltrés » sur terre dans une enveloppe terrienne. On y apprend la fin tragique de l'épouse du héros. Dans « Le Nyctalope à New York », sympathique nouvelle de Stuart Shiffman, le Nyctalope va pour une fois être mis à mal par une autre figure emblématique de notre panthéon littéraire en la personne de Zigomar....à moins qu'il ne s'agisse que d'une chimère ! « Una voce poco fa » de Emmanuel Gorlier signe ici sa première nouvelle du recueil avec un Nyctalope dans les tourmentes de la passion, une nouvelle en forme d'hommage au Fantôme de l'opéra en quelque sorte et au créateur de Belphégor. La nouvelle de Philippe Ward « L'heure du Graal », auteur, éditeur, qu'il n'est nul besoin de présenter est une fois de plus emprunt de mysticisme et nous plonge dans sa région natale, en quête du Saint Graal dans les mystères du château de Montségur. Dans « La voix divergente » Mathew Dennion révèle la félonie du Nyctalope et ses agissements avec l'occupant Nazi,un tueur du nom de Bond..James Bond, sera envoyé pour l'éliminer. Pour terminer une autre nouvelle de Emmanuel Gorlier « Dilemme Algérien » avec notre héros dans ce dramatique épisode Algérien, où il sera aux prises avec « Djinn » un redoutable indépendantiste luttant farouchement pour la liberté de son pays. Un mystérieuse « lampe » sera la clef de son aventure.
Une anthologie donc fort réjouissant qui renoue avec une tradition populaire qui semble au fil des années et ce, par l'intermédiaire de brillants auteurs passionnés de ces héros déchus, reprendre une certaine vitalité. En ressuscitant ainsi ces « Compagnons de l'ombre » qui depuis notre enfance ne cessent de nous faire rêver et de nourrir nos appétits fantasques, c'est une immersion totale dans cet univers de vieux papier jaunis par le temps qui, loin de nous les présenter comme des figures mortes, ternes et complètement obsolètes, leur redonne un magnifique lustre, une seconde jeunesse que les générations futures pourront à leur tour apprécier avec la même fougue que la notre.
Un devoir de mémoire brillamment honoré, les amateurs ne peuvent que vous en remercier avec une immense gratitude.
Cycle du Nyctalope dans la série « Les compagnons de l'ombre »
- Portfolio:Michelle Bigot: « Le Tarot des Ombres » : « Les compagnons de l'ombre » Volume 4
- Randy Lofficier : « Le Bal du gentleman anglais » : « Les compagnons de l'ombre » Volume 5.
- Emmanuel Gorlier : « Noir et Or » :« Les compagnons de l'ombre » Volume 5.
- Roman Leary : « Le Cœur d'un homme » :« Les compagnons de l'ombre » Volume 5.
- Emmanuel Gorlier : « Nyctalope, Si tu savais... » :« Les compagnons de l'ombre » Volume 6.
- Roman Leary : « Les Enfants d'Hercule » :« Les compagnons de l'ombre » Volume 6.
- Emmanuel Gorlier : « Fiat Lux ! » :« Les compagnons de l'ombre » Volume 7.
- Julien Heylbroeck : « L'Heure du Squale » (1895) : « Les compagnons de l'ombre » Volume 8.
- Emmanuel Gorlier : « La Leçon du Capitaine Danrit » (1916) : « Les compagnons de l'ombre » Volume 8.
- Matthew Dennion : « Les Chasseurs de Mars » (1917) : « Les compagnons de l'ombre » Volume 8.
- Paul Hugli : « Mort à l'Hérétique ! » (1929) : « Les compagnons de l'ombre » Volume 8.
- Roman Leary : « Un Moment de Parfait Bonheur » (1951) : « Les compagnons de l'ombre » Volume 8
- David Vineyard : « L'Ile Mystérieuse du Dr. Antekirtt » (1954) : « Les compagnons de l'ombre » Volume 8.
- Emmanuel Gorlier : « Les Trois Sœurs » (1958 et avant) : « Les compagnons de l'ombre » Volume 8.
- Jean-Marc Lofficier: « Les Trois Docteurs » : « Les compagnons de l'ombre » Volume 8.
Comment tout amateur de littérature populaire qui se respecte, peut-il rester indifférent devant autant de bonheur ?
Personnellement je trouve ces anthologies « Jouissives » et je suis en grande admiration face à ces auteurs qui sont parvenus, sous leurs plumes alertes et fécondes, à ressusciter les grands noms de
ces œuvres longtemps considérées comme mineures : Harry Dickson (mon idole) Sar Dubnotal (un must), le fantôme de l'opéra (un indémodable) Rouletabille, Tarzan, Judex, les habits noirs, Cthullhu,
Pellucidar..... le Nyctalope, encore et toujours! j'en passe et des meilleurs.
Tout un hommage à ces héros de l'ombre qui bercèrent notre enfance, et qui nous bercent encore ! Car voyez-vous chez ces auteurs, il y a une profonde admiration de toute cette littérature de «
pacotille » et ils connaissent parfaitement la « dette » qu'ils ont pour tous ces personnages de l'imaginaire qui hantent les étagères de nos bibliothèques. La preuve est là sous vos yeux dans cette
magnifique collection aux couvertures magnifiques sur un fond noir comme la nuit, comme les ténèbres d'un monde où ils accomplissent leurs fabuleux exploits.
« La nuit du Nyctalope » Editions « Rivière Blanche ». Collection dirigée par Philippe Ward.Volume N°41. Couverture de Landrönn.2012
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