« La Visite Des Martiens » De Jacques Loria: Nous Venons En Paix!
Éditions Eugène Figuière 1935. Broché in 12° de 284 pages.
Nouvelle sensationnelle pour les habitants de la terre : En effet, le professeur Herbert Murray, directeur de l'observatoire de Greenwich observe des signaux lumineux sur Mars! Grande stupéfaction dans le monde scientifique et principalement à l'observatoire de Paris où son directeur Mr Dubreuil apprend la nouvelle par les journaux. La science française ne voulant pas être en marge, nos plus illustres cervelles observent donc l'astre du dieu de la guerre. Effectivement, deux points lumineux apparaissent puis s'éteignent, puis deux autres apparaissent et s'éteignent également et enfin quatre autres s'illuminent simultanément. Un code ? Cocorico ! Car notre illustre professeur découvre l'énigme : il s'agit d'une leçon d'arithmétique spatiale, 2 + 2 = 4.
Toutefois si le monde scientifique reste muet d'admiration, un irréductible hollandais, le Pr. Muller réfute l'hypothèse de la pluralité des mondes habités. Comme quoi, tout bon raleur n'est pas forcement Français! Chacun restant sur ses positions, il va falloir prouver l'existence d'une intelligence extra-terrestre, mais attention, l'interro va être coton puisqu'il s'agit de l'épineux problème du carré de l'hypoténuse. On trace alors des signes lumineux gigantesques sur le soi. Bien évidemment l'examen sera réussi avec mention et une fois le "puits aux ânes", franchi il est donc temps de passer aux choses sérieuses. Un rendez-vous est donc fixé par signal lumineux.
Quelques semaines plus tard (viendrons, viendrons pas ?) un astronef de forme bizarre est repéré à différents endroits, dans le ciel Européen. Finalement celui-ci décide de Faire escale à Paris, les raisons ?
"Bon ! s'étaient-ils dans doute dit, arrêtons momentanément ici notre randonnée terrienne.Voici un endroit qui semble fait pour nous retenir. Cette tour, lancée en jet hardi vers le firmament est l'indice d'un esprit supérieur, le symbole d'une civilisation avancée. Arrêtons ici notre vol vagabond."
Le vaisseau ressemble à un énorme cigare argenté, comportant quelques ouvertures en forme de balcons. L'engin se pose. Après tirage au sort Dubreuil, sera l'émissaire terrien, il pénètre alors dans le mystérieux suppositoire. Une fois à bord, le vaisseau s'élève et vient se fixer au dernier étage de la Tour Eiffel. Il est accueilli par des hommes blonds, hautes statures, pratiquement imberbes et portant combinaisons plastifiées. Ces êtres s'expriment de façon rapides avec des sons très saccadés: Ak ! Ak ! Ak ! (en moins belliqueux). Leurs crânes, intelligence oblige est supérieur au nôtre ce qui va permettre à leur chef d'apprendre en quelques heures notre langage et notre orthographe. Quelques leçons d'anatomie, de philo et de nutrition plus tard, la communication va donc s'établir sur de bonnes bases. Les Martiens, bien qu'humanoïdes, sont bien différents de nous.
Pour commencer l'alimentation. ils se nourrissent de l'azote et des hydrocarbures se trouvant dans leur atmosphère, la vapeur d'eau des mêmes hydrocarbures servent de boisson. Pas de tube digestif (atrophié), pas d'estomac et par suite logique... pas d'excréments ce qui facilite l'hygiène dans l'espace. A la grande stupéfaction de nos visiteurs,les Terriens vont aux latrines:
- Mais alors, vous êtes astreints à des fonctions répugnantes!
– Hélas !
- Quoi! Vos femmes aussi, vos jeunes filles ?
– Hélas! Hélas!
- Quelle horreur ! répéta le Martien avec dégoût.
- A qui le dites-vous.
– C'est la profanation toute beauté, corruption de la chair, dégradation de l 'esprit
– Vous m 'en voyez tout confus.
- Jamais nous n'aurions imaginé pareil cloaque !
– Ne nous accablez pas ! il ne va pas de notre faute, nous n 'avons pas été consultés.
Autre caractéristique, chaque main possède six doigts. A savoir deux pouces par mains formant avec les autres doigts deux pinces distinctes pour saisir les objets. De plus les Martiens sont dotés d'une force surhumaine et leur moyenne d'âge est de 150 ans.Bien sûr, plus de guerre. ni haine ni arme, ni violence ( crédo repris par la suite par un célèbre cambrioleur).
Mais le temps passe en compagnie de nos nouveaux amis,et tout en consultant un album photoholographique. Dubreuil fait un malaise ! Panique chez les Martiens, il commence un début d'asphyxie.L'atmosphère du vaisseau lui est incompatible et on le place vite dans une chambre spéciale pour une réadaptation intensive. Le lendemain à, son réveil, il se sent un autre homme, plus fort, une sensation qu'il n'avait pas éprouvée depuis bien des lustres.
Puis c'est au tour de notre brave savant à s'initier aux mœurs des étrangers. Les découvertes vont grandissantes , premier constat: leurs femmes sont ovipares.
- L 'œuf pondu, prend le chemin des maternités où il sera examiné, trié puis introduit dans des couveuses perfectionnées. Notre puériculture est très avancée. Des infirmières spécialisées,nurses volontaires, surveilleront l'incubation jusqu'à l'éclosion. L'être qui en sortira sera anonyme.Aucune mère ne pourrait revendiquer, ni même reconnaître le sien. Chez nous la paternité et la maternité sont choses inexistantes. Comme il est inutile de se charger de parasites, la sélection de la race par le triage des naissances, là est la vérité ! Notre devise est : Peu et bien. C'est pourquoi nos œufs sont soumis à un triage rigoureux. Chez nous, c'est une gloire pour la femme que de faire recevoir ses œufs dans nos couveuses. Celles à qui échoient cet honneur, sont l'objet de nos vénérations, de notre amour.
- Mais les autres ? – Elles se font stériliser.
– Ah !
- Vous comprendrez que notre race Martienne, produit d'une stricte sélection, soit forte,belle, grande et parfaite.
Après ces échanges strictement scientifiques, à présent l'heure est au protocole et une délégation envoyée par le président de ta République apporte une invitation pour une cérémonie en grande pompe au palais de l'Élysée. Nos sympathiques Martiens vont donc se rendre en fauteuil volant, s'il vous plait, propulsés par ondes électromagnétiques. Suite aux fastes de la réception, les Martiens délivrent un premier message. Ils seront prêt à faire profiter l'humanité terrienne des bienfaits de la civilisation martienne à la condition que les Terriens, par leur sagesse, leur conduite et leur bonne volonté, méritent les dons dont on était venu les gratifier à titre généreux, par solidarité interplanétaire entre les humanités dispersées à la surface des mondes gravitant autour d'un commun soleil. L'annonce est prodigieuse et nous donne pourtant une impression de déjà-vu.
Les jours s'écoulent, Dubreuil commence à rédiger un rapport face à l'importance de ses découvertes. Un voile se lève enfin : les fameux canaux Martiens sont en réalité remplis d'une solution concentrée de caoutchouc. Le Martien se baigne dans cette substance après avoir purifié son corps à l'eau ordinaire. Le corps donc enveloppé de cette matière, formant ainsi une combinaison-vêtement possédant la propriété d'être vénéneuse aux parasites de l'air, insectes et microbes. De plus elle est ignifugée : très utile pour les grands prix ! Ils ont l'odorat typer développé et une ouïe très sensible, pouvant à volonté obstruer leurs conduits auditifs : très utile pour les belles-mères récalcitrantes. Leur science peut même rectifier certains problèmes liés à la vue.
- Et vos myopes, vos presbytes, vos daltoniens ?
– Nous n'avons rien de cela car en cas de maladie ou d'usure nos injections fluidiques excitent mécaniquement notre rétine et aussitôt la sensation visuelle augmenter.
Dans le même ordre d'idée, ils ont inventés l'œil artificiel, permettant de tout observer à des distances prodigieuses. Un projet de miniaturisation pour l'être vivant est à l'étude. Ils peuvent également à loisir faire la pluie et le beau temps, utilisant comme esclaves et serviteurs une peuplade de singes (Seigneur ! Burroughs avait raison...)
En ce qui concerne la politique et l'administration, force est au respect. La planète est gouvernée par une élite de savants. Pour la police, chacun est un représentant de la justice en puissance. Les fortes têtes sont exilées sur des îles-prisons où ils sont rendus inoffensifs est pratiquant une lésion dans la troisième circonvolution frontale gauche. Un langage unique sur toute la planète où la femme est l'égaie de l'homme. Quant au travail :
- Tous les objets nécessaires à la vie, donc manufacturés, sont fournis par les usines nationales, actionnés par le mouvement perpétuel des machines sous la surveillance de techniciens et de manœuvres spécialisés et volontaires qui se relaient par équipes. Pour le reste de notre humanité, c'est à perpétuité la "dolce farniente", car ne l'oubliez pas le but de la vie sur Mars, c 'est la quiétude du bonheur.
La vie est donc un long fleuve tranquille que rien ne semble troubler.
– Sur Mars reprit le chef, le bonheur de l'homme est parfait, l'existence est une suite de réjouissances, fêtes publiques,représentations en plein air sur l'écran des nuages, films muets et sonores, films des événements Terrestres, Lunaires où Joviens, danse et musique des effluves, concert de la nature. Notre existence s'écoule au sein d'une nature riante, généreuse, indulgente au milieu de nos jardins, de nos parcs et de nos forêts. On n'abat pas d'arbres. La nuit, la nuit est éclairée par les phosphorescences des murs des maisons, dont le crépi est à base de Baryle.
Arrive enfin le jour de la preuve de la toute puissance extra-terrestre. Au pied de la tour Eiffel, est aménagé un bloc opératoire de campagne ou les chirurgiens Martiens vont dans le désordre : rendre la vue à un aveugle, guérir un cardiaque, un tuberculeux, un hydrocéphale, un paralytique, un muet etc... Seules consignes, prendre pendant quelques jours un fluide mystérieux, trois Jours de repos et hop ! au suivant. En somme un peu comme notre bon vieux cachet d'aspirine délivré à l'armée....
Les fluides sont à la base de pratiquement toute la médecine Martienne.
- Tous les sérums existaient chez nous avant la catastrophe. Le fluide est notre guérisseur.Nos malades n 'ingurgitent plus rien, n 'ayant plus de tube digestes, en revanche ils sont soumis à des vibrations fluidiques et chaque cas a son Fluide spéciale.
Mais quelle est donc cette mystérieuse catastrophe dont les visiteurs font allusion à chaque fois ? Elle se produisit il y a environ 3500 siècles. Sur Mars, l'humanité était arrivée à la même évolution existant à l'époque de Dubreuil. A cette époque, leurs astronomes découvrirent une planète qu'ils appelèrent « STAR » et celle-ci était habitée par une humanité nombreuse et technologiquement très avancée. Hélas, cette planète rencontra une gigantesque comète qui la pulvérisa littéralement. Un éclat colossal de celle-ci arriva à une vitesse folle sur Mars. Ceux qui ne moururent pas écrasés, succombèrent tous à une suffocation subite, une asphyxie foudroyante.
Ce fut la mort partout. Un mois après la catastrophe."l'humanité" martienne avait presque entièrement disparue. Il ne resta que quelques milliers de couples, à demi suffoqués, retirés dans des grottes profondes et qui s'étaient graduellement adaptés à cette nouvelle atmosphère (en fait celle de Star). C'est alors que surgit parmi les survivants, l'être prédestiné, le grand chef Vala, qui devait prendre en mains la destinée encore vacillantes d'une population agonisante:
- Le code décrétait la disparition de signes distinctifs entre nations et races, renversait toutes barrières de frontières et de douanes, abolissait radicalement tous emblèmes de disparité entre individus, instituait un peuple unique pour toute la planète, un seul langage, une seule écriture, un seul mode de calcul. Plus de commerce, plus de monnaie, plus de travail obligatoire. L homme délivré de la faim l'était en même temps des horreurs qui en résultaient. Toute animosité entre individus disparaissait avec la disparition des appétits.
Lors de son exposé, le chef martien nous livre de plus une théorie intéressante sur la disparition de l'Atlantide (preuve qu'elle existe) aperçue depuis Mars et se situant dans l'Atlantique ( qu'on se le dise une bonne fois pour toute, alors arrêtez avec vos hypothèses douteuses...) Sans oublier une description des habitants de la face cachée de la Lune, ces fameux Sélénites qui existent bel et bien, vivant dans une atmosphère comparable à la notre. Si la face visible en est dépourvue, c'est qu'il y a longtemps, la terre , cette voleuse l'a tout simplement chapardée pour son usage personnel lors d'une catastrophe planétaire.
Mais revenons à notre délégation, nous voilà arrivé le jour du traité.Le vaisseau descend finalement de son "perchoir".Ses occupants vont donc soumettre quelques propositions aux diplomates accrédités, propositions qui fixeront les conditions de la coopération éventuelle. Si elles sont validées, une nouvelle ère de concorde et d'entre-aide fraternelle s'ouvrira pour les deux races, susceptible surtout de contribuer au bonheur de la nôtre.
- Nous sommes venus. non pour vous conquérir, ni vous torturer, ainsi que l'a supposé un écrivain populaire, habitant un pays voisin (la mort accidentelle de Wells nous est enfin révélée sous un nouveau jour) mais avec des idées pacifiques et des sentiments fraternels avec la bienveillante compassion d'un frère ainé, accourant au secours de son cadet...
Le discours est simple, nous vous apportons notre aide, mais au nom de la paix galactique: plus de guerres, plus de frontières, une seule nation, un seul langage, tous unis pour le bonheur et la sauvegarde de l'humanité. le projet est accueilli avec joie, les propositions seront donc soumises à tous les gouvernements.
Dans les jours qui suivirent une commission comportant les délégués des plus grandes nations ne purent se mettre d'accord sur la langue unique à adopter, sans parler de tout le reste.... Au même moment une délégation de furies en jupon crurent, sur un malentendu et pour d'obscures raisons que les Martiens avaient acceptés de détruire la planète entière. Le lendemain les journaux publièrent l'incroyable nouvelle:
"Les Martiens ont arrêté la décision d'exterminer humanité Terrienne !"
Le jour même une foule immense se rassemble devant l'aéronef, invectivant ses occupants, les traitants de monstres et d'assassins. Le ton monte, des coups de feu éclatent, les Martiens ripostent. un des chirurgiens est mortellement blessé, des gens tombent sous les armes redoutables du vaisseau. Désœuvrés, afin d'éviter un inutile carnage, ils ne leur reste plus qu'a décoller, quitter cette humanité imbécile, sans avenir, trop jeune, trop impulsive. Dubreuil et sa fille, Muller et son fils, restent à bord préférant goûter aux joies de la technologie et de la sagesse martienne plutôt que de rester sur cette Terre vouée au carnage et à la destruction. La nef interstellaire s'éloigne, majestueuse transmettant un dernier message, non pas de rancune mais de profonde déception :
- Non, la terre n'est pas encore prête pour le bonheur paradisiaque. Votre humanité aura malheureusement à traîner son boulet de forçat pendant encore de longs siècles. Le coeur navré, nous vous abandonnons à votre triste sort, nous reviendrons peut-être dans cinq siècles, c'est à lire vers l'an 2433. Espérons que les Martiens qui vous visiteront alors vous trouveront mieux disposés à les accueillir en frères et à vous prêter à l'œuvre de délivrance. Nous pleurons sur votre sort et repartons inconsolables d'avoir échoué dans notre tentative de salut...
KLAATU – BARADA – NIKTO !
Imaginons un instant le chef s'appelant «Klaatu» et un robot se nommant «Gork» et nous voilà plongé au coeur du film « Le Jour où la Terre s'arrêta » {The Day the Earth Stood Still, 1951, du génial Robert Wise), premier film de S.F. des années 50 vraiment adulte pour son message de paix, et d'une grande intelligence scénaristique (contrairement aux productions de l'époque).
Toutefois, la comparaison avec le roman s'arrêtera sur cette notion de «paix universelle». En effet dans cette « Visite des Martiens » le fond se veut très moraliste, apposant leurs doigts effilés sur l'une des préoccupations majeure de l'être humain censé : «Halte à la barbarie, aux guerres, pas de frontières, vivons en bonne harmonie». L'auteur va donc s'y employer en nous bombardant sur 284 pages d'un texte serré, de concepts très idéalistes, avec ce classique modèle de la société parfaite.
Les bonnes intentions d'une telle démarche , sont toujours louables, mais je pense qu'il faut avant tout s'incliner face à l'imagination et au délire de J. Loria, où chaque point est étudié avec une parfaite minutie. Toutes les pages fourmillent d'inventions farfelues, d'idées géniales sur un rythme qui ne se relâche jamais et vous résumer l'ouvrage est une véritable gageure en regard de ses innombrables innovations. De toute évidence l'hypothèse d'une civilisation Martienne n'est pas nouvelle pour l'époque mais saluons l'artiste pour son ouverture d'esprit quelque peu fantasque. Un exemple parmi tant d'autres où il nous expose sa théorie de la disparition de l'Atlantide, ou de l'apparition de l'atmosphère terrestre au détriment de nos amis Sélénites : Il fallait oser!
Un point noir toutefois sur cette critique dithyrambique, le principe de la race pure. Leur monde en effet se refuse à assumer toutes les tares de l'espèce Martienne. Une fois encore, la solution finale par l'élimination systématique de tout être inférieur pointe encore ici le bout de sa moustache. Même si elle ne s'applique qu'à de grosses infirmités (de toute façon sur Mars il n'existe qu'une race) et ce pour le bien de chacun (prétextant qu'il est difficile pour un «anormal» d'évoluer dans un monde ou tout est parfait) l'idée est bien avancée, même si la forme est moins virulente que celle exprimée dans « La Culture de l'humanité ». Un tic ,une manie que dis-je, habituelle à cette époque, où les auteurs se sentaient presque obligés d'éradiquer les indésirables, au nom du sacro saint « bonheur de l'humanité ».
D'une manière générale, le roman ne se prend pas au sérieux et l'auteur à mon avis a sûrement passé un bon moment à réfléchir à d'aussi extravagantes extrapolations. Nous retiendrons, le moyen de communication avec les Martiens, consistant à écrire en lettres géantes sur le sol. Cette technique fut utilisée de nombreuses fois en conjecture ancienne.En effet à l'époque, à défaut de posséder des moyens de communications pas ondes suffisamment puissantes, certains écrivains utilisèrent le bon vieil alphabet version géante.
En conclusion, l'auteur nous prouve une fois de plus que l'humanité n'est hélas pas encore prête à s'affranchir et il serait temps, une fois pour toute, qu'elle tende une main amicale et mature vers nos amis extra-terrestre, histoire d'en finir avec toutes avec toutes ces maladies qui nous empoisonnent l'existence. Cela ne ferait certainement pas plaisir à Jimmy Guieu mais quelque part cela nous rassurerait. Imaginons comme sur Mars, une vie d'amour, de bonté et de plaisir, sans travail, par contre voila le hic : sans estomac.
Dernière précision en début de volume l'éditeur mentionne deux ouvrages en préparation:
- « Voyage des Martiens Autour de la Terre »
- « Les Terriens sur Mars »
La chasse est ouverte !
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